Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Come as You Are: the surprising new science that will transform your sex life d’Emily Nagoski

Posté : 7 novembre, 2020 @ 11:17 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Essai, ScienceCome as You Are

Editeur : Scribe

Année de sortie : 2019 [2015]

Nombre de pages : 335

Synopsis : An essential exploration of women’s sexuality that will radically transform your sex life into one filled with confidence and joy.

After all the books that have been written about sex, all the blogs and TV shows and radio Q&As, how can it be that we all still have so many questions?

The frustrating reality is that we’ve been lied to — not deliberately, it’s no one’s fault, but still. We were told the wrong story.

Come As You Are reveals the true story behind female sexuality, uncovering the little-known science of what makes us tick and, more importantly, how and why. Sex educator Dr Emily Nagoski debunks the common sexual myths that are making women (and some men!) feel inadequate between the sheets.

Underlying almost all of the questions we still have about sex is the common worry: ‘Am I normal?’ This book answers with a resounding Yes! We are all different, but we are all normal — and once we learn this, we can create for ourselves better sex and more profound pleasure than we ever thought possible.

 

Avis : A VENIR

Vesper Flights d’Helen MacDonald

Posté : 8 octobre, 2020 @ 10:43 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Essai, MémoiresVesper Flights

Editeur : Grove Press

Année de sortie : 2020

Nombre de pages : 258

Titre en français : pas encore traduit

Synopsis : Animals don’t exist in order to teach us things, but that is what they have always done, and most of what they teach us is what we think we know about ourselves.

Helen Macdonald’s bestselling debut H is for Hawk brought the astonishing story of her relationship with goshawk Mabel to global critical acclaim and announced Macdonald as one of this century’s most important and insightful nature writers. H is for Hawk won the Samuel Johnson Prize for Nonfiction and the Costa Book Award, and was a finalist for the National Book Critics Circle Award and the Kirkus Prize for Nonfiction, launching poet and falconer Macdonald as our preeminent nature essayist, with a semi-regular column in the New York Times Magazine.

In Vesper Flights Helen Macdonald brings together a collection of her best loved essays, along with new pieces on topics ranging from nostalgia for a vanishing countryside to the tribulations of farming ostriches to her own private vespers while trying to fall asleep. Meditating on notions of captivity and freedom, immigration and flight, Helen invites us into her most intimate experiences: observing songbirds from the Empire State Building as they migrate through the Tribute of Light, watching tens of thousands of cranes in Hungary, seeking the last golden orioles in Suffolk’s poplar forests. She writes with heart-tugging clarity about wild boar, swifts, mushroom hunting, migraines, the strangeness of birds’ nests, and the unexpected guidance and comfort we find when watching wildlife. By one of this century’s most important and insightful nature writers, Vesper Flights is a captivating and foundational book about observation, fascination, time, memory, love and loss and how we make sense of the world around us.

 

Avis : Depuis que j’ai vu Olive de la chaîne abookolive parlait de H Is for Hawk (M pour Mabel), j’ai très envie de lire Helen MacDonald. Quand j’ai vu ce livre sur NetGalley, je ne pouvais pas résister ! 

Vesper Flights est un recueil d’essais courts sur différents sujets, majoritairement centré sur la nature, les animaux et notre relation avec eux. Certains d’entre eux traitent également de « chez-soi« , d’immigration, du changement climatique, de nos émotions et de notre façon de les projeter sur la nature et les animaux, de chercher des signes là où ne se trouve, en réalité, qu’une brève rencontre entre deux espèces qui ne se comprennent pas et qui partagent leur vie pendant une seconde, une minute.

Ce livre m’a fait voir la vie, la nature, les animaux différemment – l’essai avec l’autruche vers la fin du recueil m’a mise assez mal-à-l’aise, m’a un peu choquée, comme la personne qui accompagne l’autrice à ce moment-là d’ailleurs. J’aime comme Helen MacDonald explique que les animaux ne sont pas là pour nous donner des leçons mais le font tout de même parce que nous leur prêtons un sens particulier, parce qu’ils représentent quelque chose de symbolique pour nous. J’ai adoré qu’elle tente de parler de leur vie sans mentionner les hommes. Nous ne pouvons pas les comprendre parce que nous tentons d’expliquer leurs comportements à travers nos filtres humains. Le monde est beaucoup plus riche et Helen MacDonald tente de nous montrer cette richesse.
J’ai complètement adhéré ! J’ai beaucoup appris, je me suis émerveillée parfois. Je dois l’admettre tout de même, au début, je me suis demandé pourquoi je lisais ce livre sur les oiseaux – parce que je pensais qu’ils étaient le sujet principal – alors que je ne savais rien d’eux ! J’ai vu le monde d’une autre façon, j’ai découvert des choses auxquelles je n’avais jamais pensé, comme l’effet d’une nuée d’oiseaux sur un groupe de personnes ou ce que l’on ressent lors d’une éclipse et pourquoi, ce que signifie un « chez-soi » ou le fait que les oiseaux puissent voler pendant des mois sans s’arrêter …

La valeur de ce livre réside surtout pour moi dans son authenticité : il m’a émue, il était « vrai ». J’ai plusieurs fois été proche des larmes pour différentes raisons.
Certains essais sont assez tristes : le monde change et les gens détruisent le milieu naturel sans le savoir. Des espèces disparaissent et c’est une joie mêlée à une tristesse profonde que ressentent à la fois l’autrice et le lecteur quand ils ont la chance de voir un oiseau particulier dans un endroit spécifique – il peut être le dernier. Il peut aussi être perturbant de lire des « articles » à propos de chasseurs, d’ornithologues amateurs, de propriétaires d’oiseaux et d’essayer de les comprendre – je n’y parviens toujours pas pour les chasseurs.
Mais il est émouvant de passer un moment avec des bébés faucons, de les voir marcher de manière titubante, de rencontrer un ami qui aide à sauver et à relâcher dans la nature des oisillons tombés du nid. J’ai ressenti une telle allégresse en imaginant, en vivant cela au fil des pages.

Vesper Flights n’est pas seulement un recueil d’essais, c’est aussi, en partie, les mémoires de l’autrice. En effet, elle écrit en partant de son expérience personnelle ce qui ajoute encore au ton authentique de l’œuvre. Elle paraît proche du lecteur - en tout cas, je me suis sentie proche d’elle. J’avais envie de continuer à lire pour la retrouver, pour continuer à apprendre et à voir le monde à travers ses yeux, avec ses mots. 

 

Donc, ce livre est une belle découverte et je compte bien lire son premier ouvrage dès que possible !

No(s) futur(s) : Imaginer les possibles du changement climatique sous la direction d’Aline Aurias, Roland Lehoucq, Daniel Suchet et Jérôme Vincent

Posté : 6 octobre, 2020 @ 12:05 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Essai, Nouvelle, Science-fictionNo(s) futur(s)

Editeur : ActuSF (Les 3 Souhaits)

Année de sortie : 2020

Nombre de pages : 529

Synopsis : Sous la direction d’Aline Aurias, Roland Lehoucq, Daniel Suchet & Jérôme Vincent

Préface de Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe n°1 du GIEC.

10 textes de science, 10 textes de fiction : 20 regards issus de la rencontre entre scientifiques et créateurs d’imaginaire, pour explorer et expliquer les possibles du changement climatique. Inspiré par les rapports du GIEC, Nos futurs donne à voir et à penser les innombrables facettes du lien entre le climat et nos sociétés : inégalités, biodiversité, urbanisme, santé, industrie … Un mélange original, éclairant et stimulant, et plus que jamais nécessaire : car chaque demi-degré compte, chaque année compte, chaque choix compte …

Mathieu Auzanneau, Anne Barre, Audrey Berry, Philippe Bihouix, Pierre Bordage, Claire Chenu, Chloé Chevalier, Isabelle Czernichowski-Lauriol, Jeanne A-Debats, Catherine Dufour, Claude Ecken, Estelle Faye, Laurent Genefort, Raphaël Granier de Cassagnac, Marie-Jeanne Husset, Sylvie Lainé, Jane Lecomte, Jean-Marc Ligny, Pascal Maugis, Véronique Moreira, François Moutou, Sylvain Pellerin et Vincent Viguié.

 

Avis : J’ai reçu No(s) futur(s) en service presse de la part des éditions ActuSF que je remercie encore !

Ce livre est un recueil de vingt textes sur le changement climatique : dix textes scientifiques, dix textes de fiction. A chaque fois, la nouvelle fictive est écrite suite à une collaboration entre écrivain.e et expert.e scientifique. Rien que pour cette idée, j’étais très intriguée !

J’ai adoré le fait que les sujets, tout en restant focalisés sur le changement climatique et le développement durable, soient tout de même divers – qu’il n’y ait pas, par exemple, trois ensembles qui traitent d’un même thème. Sont évoqués les ODD, Objectifs de Développement Durable, tout le long du recueil : aucun n’est traité deux fois, même si certains se recoupent ou mentionnent un autre ODD. Le texte scientifique vient toujours avant la nouvelle : il permet d’expliquer les bases mais aussi le problème rencontré ainsi que les solutions possibles – et les futurs qui en découlent. Le lecteur apprend donc beaucoup de choses sur tous ces sujets ou se voit offrir un rappel sur des éléments qu’il peut avoir oublier ! En ce qui concerne les nouvelles, j’ai découvert de nouveaux auteurs et de nouvelles autrices que je n’avais jamais lu.e.s, comme Estelle Faye ou Chloé Chevalier ! J’ai trouvé très intéressante l’articulation entre les deux textes, la fiction reprenant des éléments expliqués dans la partie scientifique pour montrer aux lecteurs le futur possible.

Mais, pour autant, j’ai trouvé cette lecture parfois fastidieuse – je pense que c’est aussi la période qui fait, en partie. Je suis sûre de ne pas avoir tout compris des textes scientifiques, soit parce que mon cerveau n’était pas entièrement disponible au moment de la lecture, soit parce que les auteurs et autrices sont, comme je l’ai dit, des expert.e.s et donc emploient des termes et expliquent des choses qui sont sans doute évidentes pour eux, mais qui ne le sont pas du tout pour nous. Pour autant, comme je l’ai dit plus haut, cela permet au lecteur d’apprendre beaucoup !

J’aurais dû m’en douter en lisant le titre et son sous-entendu, no future : certaines nouvelles – et même certains textes scientifiques – sont assez déprimants. Évidemment, nous le savons, la situation n’est pas du tout idéale, et même loin de là. Les scientifiques nous expliquent comment on peut endiguer le changement climatique sans l’arrêter, mais ce qui m’a surtout déprimée, c’est la prise de conscience que les individus peuvent faire tout ce qu’ils veulent, tant que les gouvernements et les industries ne mettent pas clairement la main à la patte, les chiffres ne bougeront pas suffisamment. Et c’est en partie ce qu’on peut reprocher à ceux qui culpabilisent les consommateurs. C’est très bien de mettre en place des politiques écologiques, de demander aux individus de réduire leur consommation de carburant, de passer au vert, de trier, de faire ceci et cela : ils ont parfois l’impression d’être une souris face à un troupeau d’éléphants qui eux polluent sans vergogne et ils se sentent impuissants. Un des textes scientifiques évoquent cela, ce que j’ai vraiment apprécié ; d’autres mettent en avant des politiques qui doivent prendre en compte la justice sociale, ce qui n’est pas le cas, par exemple, de la taxe carbone. L’un d’entre eux, celui sur l’ODD « Villes et communautés durables », évoque un futur qui m’a paru utopique avant d’évoquer l’inverse, un futur dystopique et cauchemardesque. Autant vous dire que le moral n’était pas toujours au beau fixe pendant la lecture ! Enfin, j’ai trouvé quelques coquilles qui n’ont pas gêné ma lecture, mais que j’ai remarqué tout de même !

 

Donc, ce livre permet d’alimenter la réflexion sur le changement climatique et les futurs possibles au vu de notre situation actuelle. Peu sont optimistes, même si certains textes scientifiques évoquent des possibilités de futurs non catastrophiques. Une lecture que j’ai … « appréciée » n’est sans doute pas le bon verbe, mais je suis contente d’avoir lu ce livre et d’avoir appris autant de choses !

Stories in the Stars: An Atlas of Constellations de Susannah Hislop

Posté : 16 septembre, 2020 @ 12:18 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Mythologie, ScienceStories in the Stars

Editeur : Penguin

Année de sortie : 2015 [2014]

Nombre de pages : 214

Titre en français : Atlas des constellations

Synopsis : A beautifully illustrated Penguin Hardcover that invites readers to travel the night sky and discover the universe of stories in the stars

To those who can decipher it, the night sky is alive with gods and goddesses, animals and mythical creatures—an endless carnival played out in shining constellations. Amidst this jet-black canvas pricked with white dots, a hunter leaps in pursuit with his dogs at his heels, a sea monster threatens a maiden in distress, and a pair of twins lives forever.

In Stories in the Stars, writer and stargazer Susanna Hislop and international artist Hannah Waldron present an imaginative journey through the heavens. Leaping between centuries, cultures, and traditions, they explore each of the night sky’s eighty-eight constellations through gorgeous illustrations and vivid descriptions that will linger in readers’ minds long after they’ve closed the book and stepped outside on a starry night.

 

Avis : Amoureuse de mythologie et d’étoiles, je ne pouvais qu’aimer ce livre !

Et pourtant, ça n’a pas très bien commencé. En effet, je pensais lire un livre sur les constellations, certes, mais plus tourné vers le côté scientifique ; ce livre est centré sur les histoires des constellations. Et heureusement ! Le peu de matériau scientifique a failli me perdre ! Rien que le mot « astérisme » m’a laissé perplexe pendant une bonne partie du livre avant que je comprenne enfin à quoi il correspondait ! 

Stories in the Stars fait exactement ce qu’il promet dans le titre : il raconte les histoires des amoncellements d’étoiles, les mythes ou légendes (ou autres !) qu’ils représentent. J’ai adoré en découvrir certaines – même si je ne parviens toujours pas à reconnaître les étoiles bêta ou gamma ! J’ai adoré que l’autrice ne se concentre pas uniquement sur la mythologie grecque et qu’elle mentionne d’autres cultures, qu’elle nous parle de Lacaille et de ses objets scientifiques, qu’elle évoque l’interprétation des étoiles à travers Alice au pays des merveillesqu’elle mentionne parfois quand et où l’on voit ces constellations – expliquant au passage la raison pour laquelle certaines d’entre elles sont vues différemment dans les hémisphères nord et sud. J’ai adoré la façon dont l’autrice raconte : différents formats sont utilisés – il n’y en a qu’un seul qui ne m’a pas intéressée. J’ai également beaucoup aimé le ton : l’autrice nous donne parfois son avis, ce que j’ai vraiment apprécié ! Elle ne se cache pas derrière l’objectivité et n’hésite pas à nous dire ce qu’elle pense.

Le seul élément gênant pour moi : le fait qu’en format numérique, on ne voit pas très bien les illustrations, qui, pourtant, ont l’air très belles ! Je pense prendre un exemplaire papier – ce livre est très beau et très intéressant à feuilleter je pense ! – donc je finirai par les voir, mais j’étais un peu frustrée à cause de ça !

 

Donc, un excellent livre pour découvrir les histoires de chacune des quatre-vingt-huit constellations répertoriées ! 

Why We Sleep: Unlocking the Power of Sleep and Dreams de Matthew Walker

Posté : 28 avril, 2020 @ 12:17 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Sciences Why We Sleep

Editeur : Scribner

Année de sortie : 2017

Nombre de pages : 369

Titre en français : Pourquoi dormir ? : Ce que la science nous révèle pour mieux dormir

Synopsis : The first sleep book by a leading scientific expert—Professor Matthew Walker, Director of UC Berkeley’s Sleep and Neuroimaging Lab—reveals his groundbreaking exploration of sleep, explaining how we can harness its transformative power to change our lives for the better.

Sleep is one of the most important but least understood aspects of our life, wellness, and longevity. Until very recently, science had no answer to the question of why we sleep, or what good it served, or why we suffer such devastating health consequences when we don’t sleep. Compared to the other basic drives in life—eating, drinking, and reproducing—the purpose of sleep remained elusive.

An explosion of scientific discoveries in the last twenty years has shed new light on this fundamental aspect of our lives. Now, preeminent neuroscientist and sleep expert Matthew Walker gives us a new understanding of the vital importance of sleep and dreaming. Within the brain, sleep enriches our ability to learn, memorize, and make logical decisions. It recalibrates our emotions, restocks our immune system, fine-tunes our metabolism, and regulates our appetite. Dreaming mollifies painful memories and creates a virtual reality space in which the brain melds past and present knowledge to inspire creativity.

Walker answers important questions about sleep: how do caffeine and alcohol affect sleep? What really happens during REM sleep? Why do our sleep patterns change across a lifetime? How do common sleep aids affect us and can they do long-term damage? Charting cutting-edge scientific breakthroughs, and synthesizing decades of research and clinical practice, Walker explains how we can harness sleep to improve learning, mood, and energy levels; regulate hormones; prevent cancer, Alzheimer’s, and diabetes; slow the effects of aging; increase longevity; enhance the education and lifespan of our children, and boost the efficiency, success, and productivity of our businesses. Clear-eyed, fascinating, and accessible, Why We Sleep is a crucial and illuminating book.

 

Avis : J’ai trouvé ce livre sur Scribd, le grand tentateur !

Avant de commencer ce livre, je m’attendais à mieux comprendre le sommeil et les rêves, mais je ne m’attendais pas à être complètement secouée à propos de tels sujets ! J’ai appris énormément de choses : c’était à la fois utile et effrayant ! Honnêtement, je ne pensais pas que le sommeil était si important avant de lire Why We Sleep ; comme de nombreuses personnes, sans doute, je pensais que c’était nécessaire, mais agaçant ! Je ne le vois plus comme ça du tout maintenant !

Ce qui m’a impressionnée également, c’est l’amas de données, d’expériences et d’études que l’auteur cite ! Tant de recherches dont nous n’avons absolument pas connaissance sur un sujet si fondamental ! J’ai également apprécié que l’auteur ne soit pas friand des expériences sur les animaux et qu’il ne supporte pas celles dans lesquelles ils meurent – il y en a une dans le livre. La plupart de ces expériences ont ensuite été faites sur des humains, mais se pose une question d’éthique : les humains sont volontaires et conscients des risques, pas les animaux.

De nombreuses informations sont assez déroutantes, même effrayantes, mais elles doivent être connues par tous. J’étais abasourdie que l’on ne nous apprenne pas certaines choses à l’école ! L’auteur n’a pas peur de nous parler des éléments les plus affreux : il est sûr de choquer le lecteur et de le « forcer » à reconsidérer sa façon de voir le sommeil.

J’ai, enfin, aimé que l’auteur nous donne des conseils et astuces et qu’il tente tout de même de nous parler des maladies courantes du sommeil sans nous effrayer. En effet, la partie effrayante ne concerne que le fait de ne pas dormir huit heures par nuit sciemment, du fait de nous priver de sommeil en sachant ce que l’on fait ! Quand il traite des maladies du sommeil, il met en avant les traitements ou les possibilités de traitement sur lesquelles les chercheurs travaillent activement !

 

Donc, je conseillerai ce livre à tous ! Il est important et nécessaire !

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