Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Les Chants de Nüying d’Emilie Querbalec #plib2023

Posté : 12 octobre, 2023 @ 1:35 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Science-fictionLes Chants de Nüying

Editeur : Albin Michel (Imaginaire)

Année de sortie : 2022

Nombre de pages : 464

Synopsis : La planète Nüying, située à vingt-quatre années-lumière du Système solaire, partage de nombreux traits avec la Terre d’il y a trois milliards d’années. On y trouve de l’eau à l’état liquide. Son activité volcanique est importante. Ses fonds marins sont parcourus de failles et comportent quantités de sources hydrothermales. Elle possède une magnétosphère et une atmosphère dense, protectrice. Tout cela en fait une bonne candidate pour héberger la vie. La sonde Mariner a transmis des enregistrements sonores de Nüying : des chants qui évoquent par analogie ceux des baleines. Quand elle était enfant, Brume a entendu cet appel. Désormais adulte, spécialisée dans le domaine de la bioacoustique marine, elle s’apprête à participer à la plus grande aventure dans laquelle se soit jamais lancée l’Humanité : rejoindre Nüying au terme d’un voyage spatial de vingt-sept années. Que va-t-elle découvrir là-bas ? Une civilisation extraterrestre ou une remise en cause totale de ses certitudes ?

 

Avis : J’ai lu ce livre dans le cadre du Plib, puisqu’il est un des finalistes dans la catégorie adulte.

Tout d’abord, je dois dire que ma lecture de ce roman est arrivée au mauvais moment : je n’avais pas du tout envie de SF, je penchais plutôt vers la saga familiale historique ! Comme je suis une lectrice qui se laisse clairement guidée par ses humeurs, j’ai dû me forcer un peu à continuer Les Chants de Nüying.

Le roman se divise en trois parties qui vont correspondre à trois phases du voyage. Je m’attendais à un court moment de préparation, puis à une longue expédition pour atteindre Nüying et, enfin, à une phase d’exploration de la nouvelle planète. Autant dire que ce n’était pas vraiment cela. Si j’avais été dans la bonne optique, peut-être que cela m’aurait plu ; ici, j’étais surtout déboussolée et assez dubitative sur la tournure que prenaient les événements. J’étais persuadée que la phase d’exploration serait la plus longue, que le lecteur en apprendrait davantage sur Nüying. C’était plutôt un cas de « voyage plus important que la destination« .

Au début du roman, j’ai eu du mal à entrer, mais c’était à cause de mon envie de lecture du moment plutôt qu’à cause du roman. L’écriture est très bonne, c’est fluide et parfois poétique sans être ardu. J’ai aimé les côtés huis-clos et groupe, d’autant plus logiques que les personnages embarquent sur un vaisseau et qu’ils ne vont plus pouvoir en sortir pendant plusieurs années. J’ai surtout apprécié ces moments dans la première partie : ce sont les seuls instants fugaces où je suis parvenue à mettre un orteil dans le roman ; le reste du temps, je n’ai pas du tout réussi à entrer.

En effet, malgré mes efforts, je ne suis jamais pleinement entrée dans le roman. Je ne me suis attachée à aucun personnage. J’étais légèrement intriguée au début, dans la première partie, mais j’ai fini par ne plus m’intéresser à ce qui arrivait. Dès la première partie, j’étais un peu moins fan du côté fête et vie nocturne. On le retrouve un peu aussi dans La Séquence Aardtman que j’ai adoré – mais c’est plutôt « malgré » ce trope que grâce à lui. Dans la deuxième partie, l’autrice prend une direction à laquelle je ne m’attendais pas du tout avec la RNA et l’idée de SPOILER 1. Cela donne un côté beaucoup plus spirituel au roman, mais je ne peux pas dire que j’ai apprécié. SPOILER 2 Ce n’était pas du tout ce que je pensais trouver dans ce livre : nous avons ici un mélange de SF et de spiritualité, très loin de la découverte et de l’exploration d’un autre monde. Cet aspect est toujours présent, mais il m’a semblé très secondaire en fin de compte. L’idée est intéressante, mais je n’ai pas adhéré ici. Arrivée à la troisième partie, j’étais complètement détachée de l’histoire : je l’ai continué parce que je le devais. SPOILER 3 

En ce qui concerne la fin, elle m’a laissé dubitative alors même qu’elle peut être considérée comme très poétique, ce que j’apprécie d’habitude. Je n’ai, en fait, pas compris ce que je lisais et cela m’a agacée. De plus, la poésie du passage était peut-être trop tardive ou décalée par rapport au reste du roman : je n’ai, à nouveau, pas du tout adhéré. Je ressors donc de ce livre avec une petite pointe de déception.

 

Donc, un roman qui ne m’a personnellement pas conquise, malgré des éléments parfois poétiques et certains tropes que j’appréciais ; pour autant, je pense qu’il peut séduire un certain nombre de lecteurs qui y entreraient sans avoir d’attentes particulières ou en restant ouverts à des trajectoires inattendues.

 

SPOILER 1 de continuer à vivre après la mort, de se réincarner en un clone qui conserverait tous les souvenirs et les expériences que l’on veut. Un autre « moi » qui n’est pas tout à fait « moi ». Cet élément était déjà introduit dans la première partie, mais la deuxième se concentrait exclusivement sur lui.

SPOILER 2 En effet, j’ai été assez gênée par le côté « secte », pas parce qu’il était mal amené, mais parce que je n’aime pas du tout ce trope. L’apothéose était clairement le suicide collectif, encore un « trope » que je n’aime pas du tout et qui me gêne beaucoup.

SPOILER 3 Le côté « vie sur la planète et exploration » arrive, pour moi, beaucoup trop tardivement, parce que c’est ce que je m’attendais à lire dès le tiers ou la moitié du roman. Je pensais que ce serait l’élément principal, ce qui n’est pas le cas. De plus, c’est le genre d’exploration qui m’a fait penser à The Martian/Seul sur Mars d’Andy Weir, c’est-à-dire le genre qui ne m’intéresse pas, qui m’ennuie et que j’ai tendance à lire en diagonale.

 

#ISBN9782226472823

Systra, tome 1 : Première épreuve de Marine Stengel #plib2023

Posté : 30 août, 2023 @ 2:30 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Science-fiction, YASystra, tome 1

Editeur : Saga Egmont (audio)

Année de sortie : 2023

Nombre de pages/minutes : 429/752

Synopsis : Secouée par la violence des conditions climatiques, l’extinction de milliers d’espèces et l’épuisement de ses ressources, la Terre pousse un cri d’alarme.

Face à cette détresse et dans un ultime espoir de survie, les humains instaurent de nouvelles dispositions sociales. Si l’Amérique voit apparaître des purges sanglantes, l’Europe, elle, annonce la création de la loi Systra.

Callie naît dans ce monde-là. Fillette intelligente, aimée de ses parents, son destin bascule avec l’arrivée de cette petite sœur interdite, Kaya. Ainsi, la loi Systra s’applique : les enfants seront séparés, élevés loin des leurs, selon des mœurs bien différentes pour mieux se retrouver quelques années plus tard : le jour où elles devront s’affronter.

Il ne doit en rester qu’une. L’autre doit s’éteindre. À tout jamais.

 

Avis : Ce roman fait partie des finalistes pour le Plib 2023 ; c’est probablement celui que j’avais le moins envie de lire avec Thiziri. Le résumé ne me faisait pas tellement envie, malgré une idée qui, bien exploitée, peut donner quelque chose.

En effet, l’autrice développe un monde intéressant comme, par exemple, ce qui concerne l’évolution politique de la France ; elle crée ainsi une vraie dystopie sombre qui se fonde sur les difficultés climatiques actuelles. En cela, le livre paraît vraisemblable et le lecteur peut se laisser emporter à imaginer que tout est vrai.

Pour autant, je n’ai jamais réussi à entrer dans le roman. Tout d’abord, j’écoutais le livre et je pense que la voix de la narratrice y est pour quelque chose ; je l’ai trouvée assez agaçante – mais ce peut aussi juste être le fait que je n’ai pas l’habitude des livres audio en français. Ensuite, j’ai trouvé que Systra ressemblait un peu à toutes les autres dystopies que j’ai pu lire – je n’y ai pas trouvé quelque chose de différent ou de novateur. Ce n’est pas un problème en soi, puisque ce livre ravira sans doute les amateurs de dystopie. De mon côté, je ne devais pas être d’humeur pour, j’ai vraiment eu du mal.

Comme souvent, qui dit YA dit romance … Au moins, ici, pas d’insta love ou de triangle amoureux, mais je n’ai pas ressenti de réelle alchimie entre les personnages. C’était, pour moi, une romance parce qu’il en fallait une, ce que j’ai trouvé un peu dommage.

Concernant les personnages, je ne me suis attachée à aucun d’eux. Callie et Kaya SPOILER 1 Andrew SPOILER 2

La fin m’a laissée dubitative : SPOILER 3

 

Donc, ce n’est pas un livre que j’ai particulièrement apprécié, mais je pense qu’il plaira à ceux qui aiment les dystopies et les luttes familiales. J’écouterai peut-être la suite par curiosité.

 

SPOILER 1 sont dans l’obligation de s’affronter et, parfois, luttent pour se convaincre qu’elles n’ont pas le choix, qu’elles doivent tuer leur sœur. Quelquefois, j’ai un peu de mal avec les phrases qui ressemblent à celle qui clôt le synopsis : j’ai l’impression de quelque chose de dramatique qui tombe à plat. 

SPOILER 2 est tout à fait détestable – vraiment, rien ne le pardonne du début à la fin. Et justement, je ne comprends pas son comportement, je n’ai pas réussi à le cerner.

SPOILER 3 le dépôt des armes était un peu trop facile.  

 

#ISBN9782381990200

Alfie de Christopher Bouix #plib2023

Posté : 25 août, 2023 @ 11:21 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Science-fictionAlfie

Editeur : Au diable vauvert

Année de sortie : 2022

Nombre de pages : 440

Synopsis : Alfie est une lA de domotique dernière génération. Il filme tout, note tout, observe tout. Implanté depuis peu dans le foyer d’une famille moyenne, il aide au quotidien et propose sa gamme de service à haute valeur ajoutée tout en essayant de comprendre cette étrange espèce : les humains.
Mais un soir, tout bascule.
Que signifient ces mensonges, ces traces de lutte, cette disparition ?
Alfie est dubitatif. Est-ce lui qui délire ?
Ou un meurtre a-t-il été commis dans cette famille sans histoires ?

 

Avis : J’ai lu ce livre dans le cadre du Plib 2023, puisqu’il est un des finalistes ! Je n’avais pas spécialement envie de le lire avant le prix ou même avant sa sélection pour la finale : la couverture ne m’attirait pas du tout, bien que le résumé, lui, soit intrigant.

J’ai immédiatement été emportée par ce roman ! J’ai adoré le format assez original de la narration, puisque le lecteur se trouve dans la « tête » d’Alfie, l’intelligence artificielle qui est installée dans la maison d’un couple. Cela donne, dès le début, un ton humoristique centré sur le décalage entre êtres humains et IA, puisqu’Alfie ne comprend pas certaines choses dans le quotidien de la famille, quand le lecteur, lui, saisit tout de suite de quoi il s’agit. Cet humour se fonde, notamment, sur le langage, ce que j’ai particulièrement apprécié : en effet, cela permet, aussi, de se rendre compte de l’emploi que nous faisons de certains mots, expressions ou images. Alfie ne comprend que le sens propre, jamais le figuré, ce qui donne des réponses ou des situations incongrues. Cela permet aussi d’aborder les relations, l’interprétation et la compréhension, ce que j’ai trouvé passionnant !

Le côté humoristique n’empêche pas un ton plus sombre de se développer au fur et à mesure que l’intrigue progresse. En effet, j’ai également beaucoup aimé la réflexion sur les IA, leur développement, mais aussi sur leur intrusion dans nos vies, ce qu’elles peuvent faire ou pas, comment le côté abusif d’un élément positif peut se révéler négatif. Le mystère, qui arrive assez tardivement dans le roman, s’appuie en partie sur cet élément, ce que j’ai trouvé assez intelligent. SPOILER 1 Pour autant, même si le côté mystérieux commence tard, je n’ai pas trouvé cela gênant – j’avais même, en commençant le roman, oublié qu’il y avait ce type de fil d’intrigue dans le roman ! Cela peut, toutefois, paraître un peu long à certains, alors même que le roman se lit très rapidement ! En effet, malgré ses 440 pages, je l’ai dévoré, j’ai eu l’impression qu’il en faisait moitié moins, peut-être en raison du format et de la brièveté des chapitres.

Une petite remarque négative quand même : j’ai été un peu déçue de constater que ce roman spoile Le Meurtre de Roger Ackroyd que je n’avais pas encore lu ! J’ai bien senti que ça allait arriver, mais je ne pouvais pas m’arrêter et je n’avais surtout pas envie d’interrompre la lecture pour carrément lire un autre roman dans son entièreté !

Concernant la fin, j’ai adoré le côté ironie du sort SPOILER 2

 

Donc, un roman que j’ai adoré, avec lequel j’ai passé un très bon moment ! Entre réflexion sur l’IA, le langage, les relations, humour décalé et format original, il avait tout pour me plaire !

 

 

SPOILER 1 En effet, on pourrait penser que le livre tombe d’un écueil à un autre en passant du développement positif des IA pour aider au quotidien à l’IA trop intrusive et potentiellement dangereuse, mais ce n’est pas le cas. Au contraire, on flirte toujours avec cette frontière et le mystère rend cela d’autant plus intéressant. En effet, sans Alfie, aurait-on pu deviner que l’incident était, en réalité, un meurtre ? Aurait-on pu en déceler un second ? Aurait-on pu réunir suffisamment d’indices ? Quelque part, le lecteur oscille, lui aussi, entre le « côté » d’Alfie et celui des êtres humains et regretterait presque qu’ils soient découverts. De plus, Alfie se révèle être un narrateur potentiellement peu fiable. En effet, comme il a scanné de nombreux romans policiers, le lecteur doute de la véracité de ce qu’il avance : a-t-il été en contact avec trop d’œuvres de fiction qu’il ne sait plus différencier la réalité de ce qui ne l’est pas ? Imagine-t-il tout ce qu’il soupçonne ? Ou, au contraire, est-il le seul à voir clair dans le jeu des personnages ? Le fait qu’il soit une IA peut aussi renforcer cette suspicion chez le lecteur : il serait, alors, plus enclin à la faute, alors même qu’il est programmé pour ne pas en commettre. En fin de compte, Alfie avait raison, mais avait loupé quelque chose.

SPOILER 2 avec la solitude d’Alfie alors même qu’il vient de dire à Robin qu’il ne serait plus jamais seul. Cette phrase semblait vraiment menaçante ; pourtant, avec ce que je disais sur le langage, Alfie, qui, à ce moment-là du roman, vient d’être rebooté, parle de manière littérale. C’est Robin (et le lecteur avec lui) qui peut interpréter cela de cette façon ou qui peut ressentir un vague malaise tout en ayant conscience qu’Alfie ne le menace pas vraiment.


 

#ISBN9791030705614

Thiziri, tome 1 : Le Choix d’Astar d’Alexiane de Lys #plib2023

Posté : 19 août, 2023 @ 3:58 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Science-fiction, YAThiziri 1

Editeur : Audible

Année de sortie : 2022

Nombre de pages/minutes : 367/670

Synopsis : Les Anciens racontent l’arrivée des ekomers sur Terre comme le plus grand cataclysme de l’Histoire. Terraformées, la faune et la flore changent alors à jamais.

Ainsi, chaque plante répond à l’appel de ces envahisseurs et se liguent contre les humains survivants qui, afin de continuer à exister, ont trouvé refuge dans un cratère au cœur du continent africain, sous un dôme protecteur.

Thiziri, appelée Blanche par les siens à cause de son albinisme, est la meilleure des Faucheuses. Son rôle : nourrir les siens grâce à la chasse. Seulement, les proies se raréfient.

Poussée toujours plus loin, elle ne peut que remettre en question le savoir des Anciens lorsqu’elle se retrouve face à cet océan qui, géographiquement, devrait pourtant se trouver à des centaines et des centaines de kilomètres de là.
Et que penser de cette lune rouge qui apparaît dans le ciel ? Qui, dans son monde, est finalement le prédateur ?

 

Avis : J’ai lu ce livre parce qu’il est finaliste du Plib 2023 dans la catégorie YA/jeunesse. Il ne me tentait pas spécialement, mais il fait partie de ces bonnes surprises que réserve régulièrement le prix !

J’ai écouté la version audio du roman ; comme toujours, la voix du narrateur joue beaucoup sur mon appréciation du livre. Ici, j’ai beaucoup aimé la narratrice. Elle rendait notamment très bien l’urgence de certains dialogues et elle compensait le fait que j’ai un peu de mal avec les narrations à la première personne dans les romans YA. C’est, en fait, parfois très cringe selon le personnage dans la tête duquel le lecteur se trouve !

Je ne m’attendais pas du tout à autant apprécier ce roman. J’ai trouvé l’univers très intéressant, voire fascinant, avec ces plantes et leur lien avec les êtres qui habitent la planète tout comme j’ai été intriguée par le passé de ces peuples. Cela devient de mieux en mieux au fur et à mesure que l’on avance : SPOILER 1 J’ai aussi aimé l’idée de cultures qui s’entrechoquent et ne parviennent pas à cohabiter, d’où la guerre qui sévit entre les êtres humains et les ekomers. Enfin, dernier élément que j’ai apprécié : le côté mystique SPOILER 2

En revanche, on retrouve ici le côté un peu stéréotypique de la narratrice unique qui est différente des autres, que personne ne peut comprendre et qui est donc l’élue. Malgré ça, l’univers est original et l’intégration de la SF est bien pensée. J’aurais même aimé en avoir plus de ce côté-là ; c’est la raison pour laquelle je lirai la suite, même si j’ai un peu peur des quelques fils romantiques tirés au fil du roman. Cela donnait quelques scènes que je n’ai pas particulièrement appréciées. Au contraire, j’ai aimé que l’on se concentre sur l’amitié et la famille, plutôt mises en avant ici.

 

Donc, un bon premier tome que j’ai vraiment apprécié ! L’univers est riche est original ; en audio, la narratrice est agréable à écouter malgré quelques scènes un peu gênantes. Je lirai la suite avec plaisir pour en apprendre plus !

 

 

SPOILER 1 c’était génial de se retrouver chez les ekomers et de découvrir leur mode de vie, de voir comme notre héroïne ne sait, en réalité, rien du monde dans lequel elle vit. Elle doit tout remettre en question, puisqu’elle se retrouve chez les « méchants » et qu’ils ne le sont, peut-être, pas tant que ça. J’ai aimé ce côté « découverte de l’ennemi », mais aussi les secrets que l’on apprend sur les êtres humains, le peuple de Thiziri.

SPOILER 2 de la société des ekomers.

 

#ISBN9782381990323

In the Lives of Puppets de T.J. Klune

Posté : 8 juillet, 2023 @ 5:47 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Science-fictionIn the Lives of Puppets

Editeur : Pan MacMillan

Année de sortie : 2023

Nombre de pages/minutes : 432/921

Synopsis : In a strange little home built into the branches of a grove of trees, live three robots–fatherly inventor android Giovanni Lawson, a pleasantly sadistic nurse machine, and a small vacuum desperate for love and attention. Victor Lawson, a human, lives there too. They’re a family, hidden and safe.

The day Vic salvages and repairs an unfamiliar android labelled « HAP, » he learns of a shared dark past between Hap and Gio-a past spent hunting humans.

When Hap unwittingly alerts robots from Gio’s former life to their whereabouts, the family is no longer hidden and safe. Gio is captured and taken back to his old laboratory in the City of Electric Dreams. So together, the rest of Vic’s assembled family must journey across an unforgiving and otherworldly country to rescue Gio from decommission, or worse, reprogramming.

Along the way to save Gio, amid conflicted feelings of betrayal and affection for Hap, Vic must decide for himself: Can he accept love with strings attached?

 

Avis : A VENIR

12345...17
 

Baseball fans gather zone |
Eaudefiction |
Ici même |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Kpg1221gpk
| Elenaqin
| la saltarelle des baronnes