Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Le Cousin Pons d’Honoré de Balzac

Posté : 8 août, 2018 @ 4:47 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Classique Le Cousin Pons

Editeur : GF

Année de sortie : 2015 [1847] 

Nombre de pages : 383

Synopsis : Pons est un brave homme qui dépense ses maigres rentes à collectionner des tableaux et autres objets d’art. Lorsque ses riches cousins, qui ont pour lui le plus grand mépris, découvrent la valeur de la collection qu’il a mis des années à constituer, ils sont prêts à toutes les scélératesses pour mettre la main sur ce trésor …

Roman noir où se déploient dans leur hideur un univers cruel, une jungle hantée par des fauves inquiétants, Le Cousin Pons (1847) nous présente un monde criminel, du salon à la loge de concierge. 

 

Avis : Un de mes derniers livres pour l’agrégation !

D’abord, je dois dire que je ne suis pas une grande fan de Balzac. Je n’aime pas vraiment sa manière d’écrire – ce n’est pas ici un critère de valeur, je ne dis pas qu’il écrit mal, juste que ce n’est pas à mon goût -, et ses personnages sont parfois agaçants dans leur naïveté. Pourtant, j’ai apprécié ma lecture, notamment parce que j’étais absorbée dans l’histoire, et que je soutenais complètement Pons et Schmucke. Et mon absorption a causé une telle colère !! La plupart des personnages – en fait, tous, sauf trois ou quatre – représentent la corruption et la cupidité. Ils veulent tous s’enrichir, par tous les moyens, même si cela signifie dépouiller quelqu’un qu’ils ne connaissent et/ou ne comprennent pas. Le dédain de certains – je pense ici à Amélie Camusot de Marville, qui était Amélie Thirion dans La Vendetta par exemple – m’a excédé : mais comment peut-on penser ainsi, et faire des choses pareilles ?!! Les deux seuls personnages que j’ai appréciés, Pons et Schmucke, sont des enfants, naïfs, innocents, incapables de se défendre et de voir le mal quand il se trouve en face d’eux. Pons évolue à un moment donné, sans doute parce qu’il va bientôt mourir ; mais Schmucke ne change pas, du début à la fin ! D’un côté, tant mieux, il est resté pur ; mais d’un autre, il se fait complètement marcher dessus, c’est énervant !! Leur relation était très touchante, certaines scènes m’ont émue, et j’avais tellement envie de les aider !

Il est impossible de nier le talent de Balzac pour dépeindre la condition humaine, sa cruauté, ses travers, mais aussi sa beauté. Les hommes sont peut-être des loups pour l’homme, mais certains restent des agneaux, au risque de se faire dévorer. En fin de compte, ce livre est extrêmement déprimant ; c’est d’une tristesse[SPOILER] J’avais tellement envie que les « gentils » gagnent, ou au moins que Schmucke ne soit pas aussi dépouillé que Pons, qu’il profite de ce que son ami a fait pour lui. [FIN DU SPOILER]

 

Donc, un roman déprimant sur la cruauté des hommes pour ceux qui ne savent se défendre. 

Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry

Posté : 22 décembre, 2017 @ 4:19 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Classique, Jeunesse Le Petit Prince

Editeur : Gallimard

Année de sortie : 1993 [1946]

Nombre de pages : 117

Synopsis : Le Petit Prince est paru pour la première fois il y a cinquante ans aux Etats-Unis. Quelques mois plus tard, son auteur, Antoine de Saint-Exupéry, disparaissait avec son avion en Méditerranée au cours d’une mission de guerre.

« J’aurais l’air d’être mort et ce ne sera pas vrai », nous avait prédit l’enfant blond.

Pour tous ceux qui aiment ses livres, Antoine de Saint-Exupéry n’est pas mort et Le Petit Prince est plus vivant que jamais avec ses millions d’exemplaires et ses quelque quatre-vingts traductions.

Voici donc un album de fête pour cette double commémoration : un album enrichi de la fabuleuse histoire de la naissance du Petit Prince. Car tout est fabuleux dans le monde du Petit Prince : aux Etats-Unis, on a retrouvé quelques dessins originaux qu’Antoine de Saint-Exupéry a préféré écarter au moment de remettre son manuscrit à son éditeur. Ils sont pour la première fois publiés ici. Ils donnent au livre une coloration inattendue, qui en accentue la portée symbolique.

 

Avis : C’est le quatrième tome du Maître des livres qui m’a enfin donné assez envie de lire ce livre pour que je l’emprunte ou l’achète ! 

Etrangement, je ne m’attendais pas à aimer autant ; en fait, je ne sais pas trop à quoi je m’attendais, mais certainement pas à être touchée à ce point ! Je n’ai pas lu l’introduction sur l’histoire du Petit Prince ; je voulais simplement m’immerger dans l’histoire. Et quelle histoire … Le narrateur se retrouve coincé dans le désert, et c’est là qu’il rencontre un petit garçon blond, le petit Prince. Celui-ci est très mystérieux et ne lui raconte rien quand il lui pose des questions ; en revanche, il ne cesse de répéter les siennes si on ne lui répond pas ! Le narrateur et le lecteur découvrent peu à peu l’histoire du petit garçon ; il nous donne de telles leçons !! On sent bien aussi que tout n’est que symboles, et que c’est à nous d’interpréter comme nous l’entendons. C’est aussi cela qui m’a fait adorer ce livre : cette fleur, ce renard, ils peuvent représenter tant de choses différentes ; et, en même temps, c’est toujours l’amour, qu’il soit entre amants ou entre amis, qui est mis en avant, qui est le plus important. Tant de citations seraient à conserver de ce livre : « L’essentiel est invisible pour les yeux », « C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante », « Tu parles comme les grandes personnes« . Ah mon Dieu, je voudrais ne jamais parler comme les grandes personnes après la lecture de ce livre !! Le Petit Prince nous apprend à ouvrir les yeux, nous rappelle ce qui est vraiment important quand nous nous laissons submerger par nos problèmes de grandes personnes, il nous permet de penser plus grand, plus beau, plus poétique. La fin m’a brisé le cœur : [SPOILER] la perte est tellement grande, et pourtant, le petit prince laisse de l’espoir au narrateur grâce aux souvenirs qu’ils ont créés ensemble. [FIN DU SPOILER] Même quand l’ami, le proche, est parti, il nous reste les moments heureux, les souvenirs, les échos, les signes, ce qui nous rend heureux malgré le malheur d’avoir perdu. Maintenant, il me faut absolument ma propre édition pour la lire, la relire, et la rerelire, et la lire ensuite à mes enfants, et mes petits-enfants, tous les enfants et adultes de la Terre !! 

 

Donc, un chef-d’œuvre, tout simplement !

Thérèse Desqueyroux de François Mauriac

Posté : 22 octobre, 2017 @ 5:11 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Classique Thérèse Desqueyroux

Editeur : Le Livre de Poche

Année de sortie : 2010 [1927]

Nombre de pages : 148

Synopsis : Pour éviter le scandale et protéger les intérêts de leur fille, Bernard Desqueyroux, que sa femme Thérèse a tenté d’empoisonner, dépose de telle sorte qu’elle bénéficie d’un non-lieu. Enfermée dans sa chambre, Thérèse tombe dans une prostration si complète que son mari, effrayé, ne sait plus quelle décision prendre. Doit-il lui rendre sa liberté ? Dans ce livre envoûtant, François Mauriac a réussi un fascinant portrait de criminelle.

 

Avis : Relecture ici, pour un cours sur les fait-divers. J’avais aimé ce livre la première fois que je l’avais lu, et je savais déjà que j’apprécierai ma lecture.

J’ai lu Thérèse Desqueyroux pour la première fois pour les cours également, en Première il me semble et, depuis, ce livre est resté dans un coin de ma tête, j’y pensais sans y penser. Il avait laissé une marque, que je ne comprenais pas vraiment. A la fin de la relecture, je me suis dit que c’était en fait Thérèse qui m’avait marqué, son refus de vivre comme la société lui dit de vivre, son refus, en quelque sorte, du sexisme ambiant, même si elle est tout de même complice quand il s’agit d’empêcher Anne d’épouser celui qu’elle aime. Thérèse est terrifiante pour l’époque, parce qu’elle est destinée à être libre. Elle se sent monstrueuse, parce que différents scénarii lui passent par la tête pour parvenir à cette liberté, mais aussi parce que la société et la famille la jugent monstrueuse. En effet, elle a tenté d’empoisonner son mari, Bernard, pour, pensent-ils, être la seule propriétaire des pins. De plus, c’est une mauvaise mère, elle n’aime pas son enfant, alors qu’elle aurait dû, comme toutes les femmes, ressentir, à la vue de l’enfant, l’instinct maternel. Elle ne pense qu’à elle-même, égoïste et égocentrique, incapable de penser aux autres. Mais pourquoi n’en aurait-elle pas le droit, alors que les hommes, eux, le peuvent ? C’est pour ces raisons que j’ai toujours eu de la sympathie pour Thérèse, depuis la première lecture jusqu’à maintenant ; et pour ces raisons aussi que j’ai toujours détesté les autres personnages, Bernard, Anne, la belle-mère, le père de Thérèse. Bernard, d’abord, ce mari inutile, incompréhensif, incapable de faire découvrir l’amour à sa femme, qui comprend qu’elle ne sera jamais heureuse avec lui, qu’elle ne découvrira jamais la volupté, la vraie, et non la lutte que lui offre son mari quand il l’a décidé. Et voilà la bêtise des mariages arrangés ; et on s’étonne que les femmes rêvent d’amour, et non de leurs maris ! Anne, quant à elle, est plus ambivalente. J’ai commencé par l’apprécier. Puis, voyant ce que pensait vraiment Jean Azévédo d’elle, elle m’a agacée, et j’ai fini par la mépriser, comme Thérèse qui, clairement, était jalouse de son bonheur, jalousie qui disparaît quand elle comprend que celui-ci n’est en fait qu’une illusion ! Malheureuse parce que rejetée, elle se tourne vers les enfants, qui comblent son énorme besoin d’amour. Elle représente ainsi la jeune fille qui a complètement abandonné toute idée de fuite, de liberté, l’idée d’une autre vie, celle que Thérèse rêve de posséder. La belle-mère, elle, a pris la place de sa propre belle-mère au sein de la famille ; elle semble n’avoir jamais rêvé d’une autre vie, ou peut-être a-t-elle abandonné, comme sa fille après elle. Elle semble détester Thérèse pour son « hypocrisie », pour le fait qu’elle ait été gentille avec elle, alors qu’elle préméditait d’empoisonner son fils. Et le père, alors là … Sa fille n’est rien pour lui ; ce qui compte, c’est le nom, la réputation. Sa vie, ce qu’elle ressent, tout le monde s’en fiche. Elle ne compte pas. Mais quel bon père !!

J’ai aussi beaucoup aimé l’écriture de François Mauriac ; Thérèse Desqueyroux est le seul livre de l’auteur que j’ai lu, et j’ai vraiment très envie de découvrir d’autres œuvres, notamment Le Nœud de vipères, qui se trouve dans ma PAL depuis deux ans. J’aime sa façon d’utiliser les mots, sa façon de nous donner accès aux pensées de Thérèse, sa façon d’utiliser le discours indirect libre parfois, sa façon aussi de réutiliser un fait-divers pour le rendre fictif, pour faire de la criminelle son personnage, pour se réapproprier l’affaire en la faisant coller à la personnalité de Thérèse. La fin est assez abrupte, mais agréable à la fois pour le personnage principal et pour le lecteur.

 

Donc, une très bonne relecture, un personnage que j’aime beaucoup, une écriture agréable.

Le Roman d’Alexandre d’Anonyme

Posté : 8 septembre, 2017 @ 10:41 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Le Roman d'AlexandreGenre : Classique, Historique

Editeur : Le Livre de Poche (Lettres gothiques)

Année de sortie : 2010 [1967]

Nombre de pages : 851

Synopsis : Le Roman d’Alexandre est l’un des plus anciens romans français - le plus ancien même sous sa forme primitive. Il relate les conquêtes d’Alexandre le Grand, mais aussi son histoire fabuleuse telle qu’elle avait pris forme dans l’Antiquité tardive. Il se présente avant tout comme un roman d’aventures dans un décor oriental peuplé de merveilles : palais somptueux, enchantements, amazones, sirènes, filles-fleurs qui naissent de la terre au printemps, fontaine de jouvence. Alexandre lui-même y figure comme le modèle de toute chevalerie, image qui sera la sienne pendant tout le Moyen Age. La longueur de l’œuvre interdisait d’en donner l’intégralité. On a sacrifié l’épisode un peu adventice et purement militaire du « fuerre de Gadres » qui ne représente que 3 000 vers environ sur les 16 000 que compte le roman d’Alexandre de Paris – des vers de douze pieds qui recevront en son honneur le nom d’alexandrins, ce qui est en soi la preuve de son succès.

 

Avis : Je n’aime pas la littérature médiévale, mais, fac oblige, je devais lire ce petit pavé !

En fait, si on se réfère au nombre de pages, je n’ai lu que la moitié de ce livre, puisque je n’ai lu que les pages traduites en français moderne, et pas celles en ancien français. Oui, d’accord, shame on me, mais ça m’aurait pris dix fois plus de temps, ça m’aurait agacé, et je ne l’aurais peut-être carrément pas fini ! D’abord, je n’étais pas du tout emballée par cette lecture, alors je me suis dit que je n’allais pas en plus m’ajouter le rempart de l’ancien français. Pourtant, il est clair que le livre dans cette langue doit être plus intéressant, étant donné que les vers sont vraiment tous des alexandrins – ce n’est pas le cas dans la traduction -, et ils riment tous entre eux. J’ai lu, par curiosité, quelques « strophes » en ancien français, et, pour quelqu’un qui apprécie la langue, ce doit être génial ! Aussi, la langue à l’époque est très répétitive ; la traduction en français moderne l’est donc aussi. On retrouve plusieurs fois la même information dite différemment. Certains passages sont répétés deux, trois, voire quatre fois – à la fin par exemple ! Cela rend le récit lourd, comme l’exagération constante, ou les serments d’Alexandre pour absolument tout, ou la sensibilité exacerbée des chevaliers. C’est presque ridicule tant c’est répété. Il existe aussi quelques fautes dans la traduction en français moderne, sans doute des coquilles.

Malgré mon non-amour de la littérature médiévale, il était intéressant de découvrir le personnage d’Alexandre, même si j’imagine bien qu’il ne devait pas vraiment être comme cela ! En effet, il est tout en contradictions : il veut être maître du monde, mais il donne ses terres ; il est miséricordieux mais sans merci ; il est généreux mais il veut conquérir le monde pour que tout soit à lui. Il fait tuer ceux qui lui résistent et met à sac des terres, mais on parle toujours de lui en héros ; il demande à certains monarques de lui faire allégeance alors que ceux-ci ne le connaissent pas et, quand ils refusent – ce qui est normal quand même ! - il fait le serment de détruire leurs terres et de les tuer ! C’est l’exemple type du chevalier médiéval, absolument pas réaliste, et très idéalisé, qui ne cesse de jurer qu’il va faire ceci et cela. De plus, comme Le Roman d’Alexandre a été écrit au Moyen Age, l’auteur – anonyme – ne cesse d’évoquer la religion, alors qu’Alexandre a vécu au -IVe siècle ! Les douze pairs m’ont fait penser aux douze apôtres, et Alexandre est présenté comme un saint, qui rejoint Dieu et les anges à sa mort. Anachronisme, quand tu nous tiens !

La fin est très longue, puisqu’elle est répétée quatre fois !! J’ai été heureuse de refermer le livre, et je ne pense pas le relire !! Il sera quand même sans doute intéressant de l’étudier en cours.

 

Donc, la littérature médiévale n’est définitivement pas faite pour moi !

La Vendetta d’Honoré de Balzac

Posté : 18 août, 2017 @ 11:56 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Drame, Romance

Editeur : Le Livre de Poche

Année de sortie : 2015 [1830]

Nombre de pages : 93

Synopsis : La Vendetta, histoire d’un amour contrarié et tragique, est un peu une version « corse » de Roméo et Juliette.

Cette nouvelle, publiée en 1830, présente la singularité d’être un des premiers écrits signé Balzac. Elle inaugure les « Scènes de la vie privée » de La Comédie humaine. Elle marque également l’intérêt que l’écrivain accorde aux liens familiaux et aux unions ratées. Le rôle de l’amour paternel, toujours présent dans son œuvre, et qu’il exploite ici avec beaucoup de brio, sert de révélateur pour dévoiler les non-dits de la nature humaine.

 

Avis : Petit livre à lire pour les cours !

Je n’ai pas beaucoup de Balzac, juste La Fille aux yeux d’or pour les cours, et Le Colonel Chabert. En voyant le résumé, je me suis dit que ce n’était pas très original, et que le lecteur connaissait déjà la fin. Mais programme oblige, je l’ai tout de même lu ! Eh bien je ne regrette pas du tout !! D’abord, La Vendetta se lit très vite, étant donné que la nouvelle ne fait que 93 pages ! Ensuite, c’est vrai que le lecteur connaît déjà l’histoire : deux familles rivales, les enfants de ces familles sont amoureux, mais leur amour est impossible, et a toutes les chances de mal finir. Rien d’original, surtout qu’on voit le problème arriver de très loin – dès le début pratiquement – , et pourtant, on se laisse quand même emporter. Et ce qui nous permet d’aimer, malgré la familiarité avec l’histoire, c’est l’écriture. Tellement tellement belle ! Elle rend la nouvelle authentique, poignante, elle provoqué l’émotion. S’ajoute aussi les réflexions sur l’amour – une comparaison entre l’amour et la mer qui sonne tellement juste ! -, la famille, et notamment sur l’amour parental, un amour parfois exclusif qui empêche les parents de laisser partir leurs enfants. 

Seul point négatif : les personnages sont très stéréotypés ! Ginevra est une belle jeune fille, Louis est un beau jeune homme ; l’un est riche, l’autre est pauvre ; la jeune fille est hors du commun, indépendante et sauvage parce qu’elle est italienne, et le jeune homme est courageux et sensible. Très classiques, et très prévisibles. Les parents aussi le sont : Bartholoméo est possessif, il ne veut pas donner sa fille en mariage, et encore moins à Louis ; Elisa, la mère, est très effacée, soumise à son mari, contrairement à sa fille, qui ose lui répondre et le braver.

La fin est prévisible, et pourtant, elle reste touchante. Encore une fois, tout aurait pu être évité facilement, si les personnages n’avaient pas été si orgueilleux ! C’est ce qui fait toute la tragédie de l’histoire, et c’est aussi ce qui est un peu agaçant parfois !

 

Donc, une très bonne nouvelle, peu originale, mais très bien écrite, qui touche le lecteur malgré sa familiarité avec l’histoire.  

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