Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Percy Jackson, tome 3 : Le Sort du Titan de Rick Riordan

Posté : 19 octobre, 2013 @ 12:48 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Percy Jackson, tome 3 : Le Sort du Titan de Rick Riordan  dans Avis littéraires couv25565927-201x300Genre : Jeunesse, Fantastique

Editeur : Albin Michel (Wiz)

Année de sortie : 2008

Nombre de pages : 356

Synopsis : Les monstres sont toujours décidés à tuer les demi-dieux. Percy et ses amis Annabeth, Grover et Thalia se retrouvent face à un horrible manticore. Ils n’ont la vie sauve que grâce à l’intervention de la déesse Artémis et de ses Chasseresses. Mais, lorsque Annabeth puis Artémis disparaissent, une nouvelle quête semée d’embûches s’annonce : Percy devra plus que jamais se méfier des manipulations et des pièges de Cronos, le Seigneur des Titans.

 

Avis : Ayant lu les deux premiers tomes et les ayant apprécié, il fallait que je continue cette saga, prêtée par ma cousine adorée ! Couverture intrigante et synopsis intéressant : il n’en fallait pas plus !

Toujours de très bonnes références aux mythes grecs : le livre nous en fait (re)découvrir certains que l’on aurait pu oublier (en tout cas, je les avais oublié !) comme le jardin des Hespérides, ou le Lion de Némée. Je ne connaissais pas l’existence du Dragon ni le nombre des sœurs, même si j’avais entendu parler de ce mythe. On devine l’identité du Général quand les héros arrivent à la Montagne du Désespoir. Les indices ne manquaient pas ! Mais surtout, dans ce tome, on découvre Artémis et Apollon, les jumeaux de Zeus et Léto. Je me suis rendue compte seulement en les découvrant qu’il manquait pas mal de Dieux dans les autres tomes : Héphaïstos, Aphrodite (même si l’on entend parler des deux avec Arès) et je ne me souviens pas avoir « vu » Athéna dans les autres tomes. Même s’ils étaient tous mentionnés, tous les dieux n’apparaissent que dans ce troisième tome. Par contre, l’apparence d’Artémis m’a surprise : je ne l’imaginais pas du tout comme ça. L’idée des Chasseresses est assez intéressante, tout comme celle du char du Soleil.

Le ton de l’histoire est toujours égal à lui-même : plein d’humour et d’entrain. Il reste toujours assez enfantin, ce qui lasse un peu … Certaines répliques des personnages montrent que ce sont encore des enfants. Mais l’intrigue rattrape ce petit défaut, et l’humour des personnages aussi. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à certains moments ! Néanmoins, on se rend compte que l’écriture de l’auteur évolue : tout ne se finit pas aussi bien que dans les autres tomes, certains personnages font des choix difficiles et la mort fait sa grande entrée dans le monde de Percy Jackson. J’avoue que je me suis sentie mal dans la scène concernée, pleine d’émotion, de tristesse et de regrets.

De nouveaux personnages apparaissent dans ce tome : Nérée, le Vieillard de la Mer, Zoé Nightshade, les Chasseresses, mais aussi des mortels, des Titans et monstres divers. Les autres personnages sont égaux à eux-mêmes : Grover me fait toujours bien rire, Annabeth est encore plus attachante et Percy le fait l’effet d’un garçon qui devient un homme et prend de plus en plus de responsabilités, et qui fait des promesses qu’il ne peut pas toujours tenir … Les dieux ne changent pas, Chiron non plus, mais Thalia fait un choix décisif qui change tout le cours de l’histoire. Luke et son armée sont toujours aussi horribles, mais la vision de l’auteur n’est pas manichéenne : Luke n’est pas complètement « méchant », il reste une part de l’ancien Luke quelque part, et cela rend de l’espoir à Annabeth, ce qui gène Percy (haha !). Ils vont finir ensemble, évidemment !

La fin est toujours ce qu’il y a de mieux dans les Percy Jackson, elle donne toujours envie de tout de suite ouvrir le tome suivant pour la comprendre et découvrir les nouvelles aventures des héros, qui s’annoncent hautes en couleur !

 

En fin de compte, un petit tome bien sympa qui attise notre curiosité et qui fait évoluer l’histoire, bien que le ton soit toujours un peu enfantin !     

Percy Jackson, tome 2 : La Mer des Monstres de Rick Riordan

Posté : 24 juillet, 2013 @ 2:16 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Percy Jackson, tome 2 : La Mer des Monstres de Rick Riordan  dans Avis littéraires couv51919120-201x300Genre : Fantastique, Jeunesse

Editeur : Albin Michel

Année de sortie : 2010

Nombre de pages : 314

Synopsis : Être le fils de Poséidon, un honneur ou une cruelle plaisanterie ? Lorsqu’une simple partie de foot se change en bataille contre un gang de cannibales géants, Percy le demi-dieu a un terrible pressentiment … Comme le lui annonçaient ses étranges cauchemars, les frontières magiques qui protègent la Colonie des Sang-Mêlé sont empoisonnées. Pour sauver leur domaine, Percy et ses amis devront parcourir la mer des Monstres, qui porte bien son nom.

 

Avis : Le synopsis présage une nouvelle aventure pour Percy Jackson et ses amis. Après mon avis mitigé sur le premier tome, j’ai voulu voir ce que cela donnait par la suite.

J’ai retrouvé les références aux mythes grecs, que j’ai trouvés aussi bien faites que dans le premier tome. On retrouve aussi de nouveaux monstres, comme les Cyclopes ou les Lestrygons (que je ne connaissais pas). Le ton est toujours léger, et l’humour est toujours très présent. Les remarques de Percy, certaines de Grover et de Tyson m’ont bien fait rire. L’apparence du dieu que l’on découvre dans ce tome est conforme à ce que l’on pourrait en attendre de nos jours. L’histoire est toujours aussi originale, et l’on en découvre plus sur ce qui pourrait arriver à Percy à l’avenir. Certaines révélations sont intrigantes, et inattendues, et elles rendent l’histoire encore plus intéressante. On découvre de nouveaux lieux mythiques, comme la fameuse Mer des Monstres, l’île de Polyphème ou l’île des Sirènes. J’ai beaucoup aimé l’idée du centre de remise en forme C.C.. 

Les scènes de ce tome m’ont paru beaucoup moins faciles que celles du premier tome, même si ce dernier faisait 100 pages de plus, et même si Percy et ses amis s’en sortent finalement toujours bien. On voit toujours que l’histoire a été écrite pour de jeunes enfants, notamment dans le combat entre Luke et Percy sur le bateau. La fin était peu prévisible, même si je m’y attendais un petit peu. Il y avait quelques indices tout le long du livre. Toujours est-il que Percy fait plus que son âge, comme ses amis.

Les personnages sont toujours aussi sympathiques. Percy et Annabeth évoluent un peu dans ce tome : Percy découvre sa famille et prend conscience que ce n’est pas la faute de son père s’il ne peut pas être proche de lui ; Annabeth découvre son défaut fatal et devient de plus en plus proche de Percy. Tyson est touchant et marrant dans sa façon de parler. On peut éprouver de la pitié pour lui dans certaines scènes. J’ai été contente de retrouver Grover dans ce tome, je ne m’attendais pas à l’y découvrir. Les autres personnages sont toujours les mêmes, mais l’on se rend compte qu’ils sont plus complexes que ce que l’on pouvait penser.

La fin est assez surprenante et nous indique clairement que la suite sera encore pleine de surprises, d’aventures et de rebondissements !

 

C’est donc un bon second tome, qui donne envie de lire la suite très rapidement !

Percy Jackson, tome 1 : Le Voleur de foudre de Rick Riordan

Posté : 21 juillet, 2013 @ 8:22 dans Avis littéraires | 2 commentaires »

Percy Jackson, tome 1 : Le Voleur de foudre de Rick Riordan dans Avis littéraires couv8986425-202x300Genre : Jeunesse, Fantastique

Editeur : Albin Michel

Année de sortie : 2008

Nombre de pages : 424

Synopsis : Être un demi-dieu, ça peut être mortel … Attaqué par sa prof de maths qui est en fait un monstre mythologique, injustement renvoyé de son collège et poursuivi par un minotaure enragé, Percy Jackson se retrouve en plus accusé d’avoir dérobé l’éclair de Zeus ! Pour rester en vie, s’innocenter et découvrir l’identité du dieu qui l’a engendré, il devra accomplir sa quête au prix de mille dangers.

 

Avis : Cela faisait longtemps que je voulais lire la saga des Percy Jackson. J’adore la mythologie grecque et je voulais voir ce qu’en avait fait l’auteur.

J’ai un avis assez mitigé sur ce livre. D’un côté, il est bien fait. Il y a de bonnes références aux différents mythes grecs (comme les Chimères, Cerbère, Méduse, et d’autres) que, parfois, l’on redécouvre. Le ton est assez léger, et j’ai ri à certains moments. Les dieux grecs sont assez conformes à ce que l’on pourrait attendre d’eux dans les temps modernes (même si je ne m’attendais pas à la tenue de Poséidon …). Il est assez original d’inventer une histoire où l’Olympe se déplace au fil des années de civilisations en civilisations, même si c’est un peu gros. On retrouve les lieux typiques des mythes grecs : l’Olympe, les Enfers, le Tartare.

Mais d’un autre côté, certaines scènes sont vraiment trop faciles. Les scènes d’action durent peu de temps, et Percy, même s’il est plus que débutant, vainc toujours. J’ai été un peu gênée par cette facilité. C’est assez enfantin. Le dénouement est très prévisible et il est évident de qui est l’ami qui trahit le héros. Par contre, souvent, je n’ai pas eu l’impression que Percy avait 12 ans. Je lui en aurais donné 15 minimum. Il réagit rarement comme un enfant.

Percy Jackson est un personnage sympathique, très intelligent et plein d’humour. Ses remarques quand il découvre les monstres ou les dieux m’ont souvent fait rire. Il est comme tous les héros : courageux sans le savoir, modeste et sûr qu’il vaut rien. De ce point de vue là, c’est un personnage assez classique. Comme pour tous les autres, certaines choses qui sautent aux yeux des lecteurs échappent complètement à Percy. Les personnages secondaires sont tout aussi sympathiques que le héros : Annabeth et Grover. Annabeth est la Mademoiselle-Je-Sais-Tour de l’histoire, c’est un peu l’Hermione Granger du livre. Elle n’est pas agaçante pour autant, et même attachante. Elle aussi fait bien plus que son âge. Quant à Grover, comme Percy, il est très drôle. C’est un personnage à part, original puisque différent de tous les autres.

 

En définitive, un bon premier tome de saga, même si c’est assez prévisible et un peu enfantin. Je lirai quand même la suite avec plaisir.    

L’Héritage, tome 4 de Christopher Paolini

Posté : 2 juin, 2012 @ 12:01 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Fantasy ; JeunesseL'Héritage, tome 4 de Christopher Paolini dans Avis littéraires 9782747028554FS1-207x300

Editeur : Bayard Jeunesse

Année de sortie : 2012

Nombre de pages : 900

Synopsis  : Il n’y a pas très longtemps, Eragon, le tueur d’Ombres, dragonnier, n’était qu’un pauvre garçon de ferme, et son dragon, Saphira, seulement une pierre bleue dans la forêt. Maintenant, le destin d’un peuple entier repose sur leurs épaules.

De longs mois d’entraînements et de batailles ont rapportés des nombreuses victoires et de l’espoir, mais ils ont causé aussi des pertes déchirantes. Et puis, la réelle bataille n’a pas encore eu lieu : ils doivent affronter Galbatorix. Quand ils le feront, ils devront être assez fort pour le vaincre. Et s’ils ne peuvent pas, personne ne le pourra. Il n’y aura pas de seconde chance.

Le dragonnier et son dragon sont allés plus loin que personne n’aurait pu l’espérer. Mais peuvent-ils renverser le roi maudit et restaurer la justice en Alagaësia ? Et dans ce cas, quel en sera le prix ?

 

Avis : En allant acheter ce tome et en voyant la couverture, je me suis dit : Qui est ce dragon vert ? A qui appartient-il ? Y-a-t-il un quatrième Dragonnier ? Cela m’a donné de plus en plus envie de le lire mais j’ai résisté jusqu’à avoir relu les tomes précédents (les deux derniers tomes m’étant complétement sortis de la tête !) Et en le lisant, je n’ai pas été déçue !

Quelle belle fin ! La saga Eragon est la première série que j’ai lu et la voir se finir me fait un peu bizarre. Voir le mot FIN au bout de la dernière page m’a fait comme un électrochoc. Le terme de L’Héritage, c’est un peu la fin d’un monde. Mais est-ce vraiment l’achèvement final ? Il paraitrait que Mr Paolini ait décidé de nous surprendre une deuxième fois (je tiens à rappeler que L’Héritage devait être une trilogie à la base) en transformant sa quadrilogie en une série de cinq tomes. Il y aurait ainsi des réponses à certaines questions restées en suspens comme la vie d’Angela, l’évolution des relations entre Eragon et Arya, la renaissance de la caste des Dragonniers …

En effet, cette fin est en elle-même un renouveau. C’est l’achèvement d’une histoire et le début d’une autre. Car, Eragon, en agissant comme il le fait, nous laisse penser que ce n’est pas réellement fini, qu’il y a encore quelque chose après. De plus, cette fin n’en est également pas une car elle ne répond pas à toutes les questions posées tout au long de l’histoire. Questions que j’ai déjà énuméré au-dessus et auxquelles je rajoute : la naissance et l’éducation des dragons, la vie sur l’Alagaësia après Galbatorix …

D’un autre côté, ce tome s’intéresse à plusieurs personnages, il ne reste pas centré uniquement sur Eragon et Saphira, ce qui est très bien puisque nous suivons plusieurs aventures à la fois qui finalement se recoupent.

D’une autre façon, cette fin en elle-même est un accomplissement parfait de la longue guerre de l’Alagaësia, qui ne se finit pas comme on aurait pu le penser. Le bien triomphe totalement avec une fin des plus surprenantes. Par cet aspect, je trouve que c’est un dernier tome différent des autres. Je n’avais jamais vu de série dans laquelle le héros vainc le « méchant » de cette façon. Je trouve que c’est innovant et j’aime beaucoup.

Cette fin mêle en plus différents sentiments : joie car Eragon a finalement atteint le bout de sa quête, tristesse car Eragon et Arya se séparent sans même avoir vécu quoi que ce soit ensemble, frustration parce qu’il manque certaines réponses … Il y en a pour tous les goûts ! Ceux qui aiment les fins tristes, ceux qui préfèrent les Happy Ending et ceux qui aiment conserver une part de suspense.

Pour moi, une histoire ne se finit jamais vraiment. Elle continue à s’étendre dans notre imaginaire. Cette série fait partie de celle qui ne meurt jamais, de celle dont on continue de rêver. Certains auront sans doute déjà imaginé comment la caste des Dragonniers renaît, comment Eragon et Saphira évoluent, ce qu’ils deviennent …

Finalement, ce dernier tome est à double tranchant. Dans un sens, il est réussi car la fin est magnifique et que l’Alagaësia est sauvée. Dans un autre, il manque quelque chose. L’histoire ne peut pas s’arrêter comme ça. Il y a encore beaucoup de choses à découvrir pour Eragon comme pour nous.

Il ne nous reste plus qu’à espérer que Mr Paolini ne laissera pas tomber Eragon dans l’oubli et écrira un cinquième tome !

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