Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Weird Things Customers Say in Bookshops de Jen Campbell

Posté : 16 juillet, 2017 @ 6:51 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : HumoristiqueWeird Things Customers Say in Bookshops

Editeur : Constable

Année de sortie : 2012

Nombre de pages : 119

Titre en français : Propos cocasses et insolites entendus en librairie

Synopsis : A John Cleese Twitter question (‘What is your pet peeve?’), first sparked the Weird Things Customers Say in Bookshops blog, which grew over three years into one bookseller’s collection of ridiculous conversations on the shop floor.

From ‘Did Beatrix Potter ever write a book about dinosaurs?’ to the hunt for a paperback which could forecast the next year’s weather; and from ‘I’ve forgotten my glasses, please read me the first chapter’ to ‘Excuse me … is this book edible?’: here is a book for heroic booksellers and booklovers alike.

This full-length collection, illustrated by the Brothers McLeod, also includes top ‘Weird Things’ from bookshops around the world.

 

Avis : Un peu de détente pendant une lecture plus sérieuse !

Depuis quelques temps maintenant, je suis Jen Campbell sur Youtube – si vous pouvez regarder des vidéos en anglais, n’hésitez pas ! Les livres qu’elle montre sont tous intéressants, et elle a le don de vous donner envie de les lire ! – et, plus je la vois, plus j’ai envie de lire ses propres livres. Je me suis lancée avec Weird Things Customers Say in Bookshops ! C’est une compilation de perles de clients, du plus inspiré au plus bête ! Je m’attendais à rire tout le long, et c’est vrai que j’ai ri ; mais, à partir d’un moment, je me suis mise à soupirer, et je me suis retrouvée dans la même situation que Neil Gaiman quand il dit : « Si drôle. Si triste … Lisez-le et soupirez. » C’était exactement ça !! Je trouvais certaines perles très drôles, et d’autres me semblaient tellement impolies de la part des clients, ou énormes, qu’elles m’ont rendu triste ; je me suis demandée si le monde allait si mal pour qu’on entende ce genre de choses dans des librairies ! J’imagine la frustration, l’exaspération des libraires qui se retrouvent devant ce genre de clients, eux qui devaient rêver de conseiller des gens qui s’y connaissent un peu en livres, ou qui sont, au moins, attirés par eux ! En tout cas, j’ai aimé la repartie – tout en restant polis ! – des libraires, qui ne se laissent pas démonter devant certains clients particulièrement désagréables ! Je lirai sans doute le deuxième volume !!

 

Donc, un livre drôle, mais parfois aussi désespérant !

What if ?: Serious Scientific Answers to Absurd Hypothetical Questions de Randall Munroe

Posté : 4 mai, 2017 @ 2:12 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Sciences, Humoristique What if

Editeur : John Murray

Année de sortie : 2014

Nombre de pages : 295

Titre en français : Et si … ? ; Les réponses les plus scientifiques aux questions que vous ne vous êtes jamais posées

Synopsis : Hey ! Thanks for looking at my book. If you’re thinking about buying it, here are some things you might want to know:

Humans can’t digest the cellulose in paper, but if we could, eating this book would give you about 2,300 calories (including the cover).

This book can’t stop most bullets; if you want to use it for armour, you may want a lot more than one copy.

If you have a good arm, you could probably throw this book about 45 feet. With practice, it’s possible to throw a book every 800 milliseconds, which means that if human attackers are sprinting toward you, you’ll have three or four chances to hit them before they reach you. If, on the other hand, you’re being attacked by a coyote, its higher top speed means you’ll have only one chance to hit it. Aim carefully.

HIDDEN FEATURE: The inside of this book has words and pictures, plus a special UK foreword. It answers many important questions, including whether you could jump from a plane with a helium tank and inflate balloons fast enough to slow your fall and survive (yes) and whether you could hide from a supersonic windstorm in Finland (yes, but it won’t help).

 

Avis : Malgré le fait que je sois une littéraire pure et dure, j’aime aussi beaucoup la science, notamment l’astronomie. J’aime comprendre comment fonctionne la Terre, le système solaire, les années-lumière, les trous noirs, les trous de verre, etc. J’aime aussi la science plus « basique ». La seule chose que je n’aime pas, ce sont les mathématiques ! Donc, je me suis dit que ce pouvait être sympa de lire des livres scientifiques !

Je ne me suis pas trompée !! Alors, bien sûr, je suis pratiquement sûre que je n’ai pas tout compris dans les détails, mais j’ai appris beaucoup de choses - même si ces choses sont en partie centrées sur la destruction de notre planète dans, disons, 70% des cas ! J’ai d’abord beaucoup aimé le concept de répondre à des questions absurdes par des réponses très sérieuses, qui ont demandé des recherches, des calculs. Et ce titre, What if?, qui ouvre l’horizon des possibles au maximum ! Tout peut arriver, et tout arrive grâce aux questions des internautes sur le site de Randall Munroe ! Souvent, l’auteur obtient un résultat, même si celui-ci signe la fin de toute vie sur Terre, et la fin de la Terre elle-même ! Ce que je n’ai pas forcément compris, ce sont les calculs dont il parle : Randall Munroe a travaillé pour la NASA, je n’ai clairement pas son niveau en maths ! Mais je comprenais toujours le résultat, ou, en gros, pourquoi on arrive à ce résultat. J’ai adoré l’humour que l’auteur injecte dans son œuvre, comme quand on lui demande ce qui arriverait si le soleil s’éteignait : il donne tous les avantages, pour finir par le gros inconvénient : tout le monde serait mort gelé. J’ai aussi aimé les passages où il tente de voir le côté positif, ou poétique (oui, il peut y avoir un côté poétique à la science !) des choses, comme avec l’enfant qui lâche son ballon, ou comme avec les tremblements de terre de magnitude négative. Tout n’est donc pas négatif, même si la majorité des résultats le sont ! Ce n’est pas de la faute de l’auteur : il faut voir les questions ! Certaines sont vraiment absurdes, comme avec le soleil qui s’éteint ! D’autres sont plausibles, mais complètement loufoques ! J’ai aimé les sections « Weird (and Worrying) Questions from the What If? Inbox » : elles sont souvent hilarantes, soit par l’inanité des questions, soit par la réponse de l’auteur ! Et elles sont notamment hilarantes grâce aux illustrations qui accompagnent tout le texte ! Je ne pensais vraiment pas qu’un petit bonhomme en bâton pouvait être aussi drôle ! Il faut dire que l’auteur le met, soit dans des situations ridicules, soit lui fait dire des choses qui nous prennent par surprise, et donc, nous font éclater de rire ! Petit plus : le design de mon édition est juste énorme ! J’adore la couverture, les couleurs, et les endpages à l’intérieur représentent un tableau bleu couvert de calculs et de schémas ! Le livre sous la jaquette représente l’histoire de ce dinosaure suspendu au-dessus de ce puits/bouche d’égout d’où sortent des tentacules !

 

Donc, un excellent moment passé avec un livre scientifique, le lecteur rit, apprend des choses, et referme le livre en secouant la tête, un sourire aux lèvres !

The Discworld series, book 1 : The Colour of Magic de Terry Pratchett

Posté : 28 avril, 2017 @ 10:34 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Fantasy, Humoristique The Colour of Magic

Editeur : Corgi

Année de sortie : 1988 

Nombre de pages : 285

Titre en français : Les annales du disque-monde, tome 1 : La huitième couleur

Synopsis : On a world supported on the back of a giant turtle (sex unknown), a gleeful, explosive, wickedly eccentric expedition sets out. There’s an avaricious but inept wizard, a naive tourist whose luggage moves on hundreds of dear little legs, dragons who only exist if you believe in them, and of course THE EDGE of the planet …

‘One of the best, and one of the funniest English authors alive’ Independent

 

Avis : Cela faisait un moment que ce livre traînait sur mes étagères ; il m’est souvent venu en mains, mais je ne l’avais pas encore lu. Cette fois, je me suis lancée !

Je ne sais pas pour vous, mais j’ai toujours du mal à entrer dans un livre, le temps que l’univers se mette en place, que les personnages me deviennent sympathiques, le temps que je sois entrée dans l’histoire. Cette difficulté est encore plus grande dans les livres Fantasy, donc y compris dans The Colour of Magic. Le lecteur entre dans un monde complètement inconnu dans lequel il commence par être perdu : les points cardinaux n’ont plus le même nom (mais, du coup, lequel correspond auquel ?), le monde est soutenu sur le dos d’éléphants juchés sur une tortue (?!!), l’univers est composé de tortues qui flottent, et il existe un bord du monde. Malgré cette barrière de l’inconnu, j’ai vite tenté de tout remettre en ordre et j’ai véritablement apprécié l’univers présenté par l’auteur, complètement loufoque, ce qui fait tout son charme ! Son humour est rafraîchissant, et parfois inattendu, prenant le lecteur par surprise ! L’écriture est agréable, un savant mélange de description et de dialogues qui fait que la lecture n’est pas lourde. Ce que j’ai particulièrement apprécié dans ce livre est la reprise de certains lieux communs de la Fantasy pour les détourner et, souvent, les rendre ridicules ! Par exemple, le héros n’est pas du tout celui auquel on peut s’attendre dans une œuvre de Fantasy : il n’est pas courageux, il n’a pas les valeurs morales attendues, il n’a pas de pouvoir particulier, il n’est pas vraiment l’élu, l’anti-héros par excellence, tout comme son compagnon ! Le livre est divisé en quatre parties, qui correspondent chacune à une aventure particulière. Autre exemple : les  »héros » des histoires sont en fait des barbares qui se battent pour peu et n’ont pas énormément de neurones ! L’action est donc présente, et se renouvelle constamment !

Rincewind, magicien qui a été exclu de l’école de sorcellerie, se retrouve héros de ce livre ; comme je le disais juste au-dessus, il est véritablement l’anti-héros par excellence, mais celui que l’on apprécie, pas celui que l’on déteste ! Ses excès de panique sont drôles, tout comme la façon dont il est toujours acculé par des personnages plus puissants que lui. Il n’est pas maître de son destin visiblement, et se retrouve à devoir protéger un touriste qui n’a pas du tout l’air de tenir à la vie ; dans tous les cas, il vit dans une réalité où tout s’arrange toujours ! Les personnalités des protagonistes sont donc opposées, ce qui donne de bonnes scènes hilarantes ! Twoflower, ce compagnon idéaliste et fasciné par absolument tout, même une bagarre pour le tuer, est drôle, souvent sans le vouloir. Il est toujours de bonne humeur, toujours positif, ce qui, étrangement, le sort de nombreux faux pas. Il est accompagné par son bagage, une malle pourvue de jambes, hilarante elle aussi, sans le vouloir elle aussi : on dirait un chien qui suit son maître partout en causant le maximum de dommages sur son passage ! D’autres personnages apparaissent, comme certains « héros » dont je parlais plus haut ou les dragons (ils parlent !) que j’ai particulièrement aimé ! 

La fin (là encore, l’auteur joue avec le lecteur !) laisse présager une très bonne suite ! Bien sûr, comme la plupart des premiers tomes de série, le monde est séduisant, et donne envie d’en savoir encore plus : je pense donc que je préférerai le tome suivant à celui-ci, qui n’est pas loin du coup de cœur, mais qui n’en est tout de même pas un !

 

Donc, un très bon premier tome qui introduit bien le monde et les personnages, et qui donne vraiment envie d’aller plus loin !

A Cat Called Birmingham : A biography of nine lives de Chris Pascoe

Posté : 25 avril, 2017 @ 10:25 dans Avis littéraires, Coup de cœur | 2 commentaires »

A Cat Called BirminghamGenre : Humoristique, Contemporaine

Editeur : Hodder & Stoughton

Année de sortie : 2004

Nombre de pages : 182

Titre en français : Monsieur Chatastrophe : une biographie de neuf vies

Synopsis : Darwin coined his theory of evolution based on survival of the fittest. He’d obviously never met Brum.

In the long history of mankind’s relationship with felines, one cat stands head and shoulders below the rest. Highly inflammable, the glass-jawed Birmingham lurches from one catastrophe to the next. Through encounters with washing machine spin cycles to his lovelorn pursuit of the agressively uninterested Sammy, Chris Pascoe’s hilarious book paints an intimate portrait of the author’s calamitous relationship with a cat wholly unsuited to being feline.

Persistenly molested by an irate sparrow, physically incapable of negotiating the intricacies of the cat-flap and with a near-fatal appreciation of the effects of gravity, Brum nevertheless remains steadfast in his subconscious pursuit of oblivion.

The question is, will nine lives be enough ?

 

Avis : Après avoir lu Danse Macabre, j’avais besoin de livres qui me mettent de bonne humeur : quoi de mieux que la vie d’un chat absolument dingue ?

Quand je lis, il est rare que j’éclate de rire, ou que j’éclate en sanglots : souvent je souris, ou je me sens triste, mais je contrôle mes émotions. Eh bien, là, j’ai été incapable de le faire ! J’ai éclaté de rire en m’imaginant les situations dans lesquelles se met Birmingham - et dans lesquelles il entraîne son humain par la même occasion ! J’ai adopté un chat depuis peu, et elle aussi peut faire des bêtises, mais l’imaginer à la place de Brum était hilarant ! J’aurais fait la même chose que lui si mon chat avait était aussi casse-cou ! J’ai aimé la division en chapitres très courts qui relatent chacun une catastrophe, ou plutôt, une catégorie de catastrophes ; en effet, l’auteur nous explique que cela n’arrive pas qu’une seule fois ! Par exemple, Brum a pris feu à peu près six fois, de manière différente presque à chaque fois ! J’ai aimé aussi les petites illustrations qui accompagnent chaque chapitre. Elles m’ont fait rire elles aussi, plus particulièrement celle qui représente Brum à demi sorti par la chatière, et donc à moitié trempé parce qu’il pleut ! Les hypothèses que fait Chris Pascoe sur ce que doit penser son chat sont très drôles également !! Il reprend ainsi le schéma du Journal de Bridget Jones - avec succès !! A vrai dire, cette adaptation m’a plus fait rire que l’original … -, ou imagine qu’ils sont tous les deux morts et qu’ils ont une conversation d’égal à égal. Il se pose aussi un tas de questions sur les chats, se demande si le sien n’est pas une sous évolution, un miacis, s’il se considère comme un chat. Passage préféré : celui avec Maya ! C’était si mignon ! Je n’avais eu qu’un seul exemple de chat qui faisait ce genre de choses : celui d’Hemingway. En revanche, j’ai eu un peu de mal avec les passages sur les enfants qui brutalisent les chats, qui ne se rendent pas compte que ce sont des êtres vivants et les manipulent comme des jouets.

 

Donc, un livre très agréable, qui m’a beaucoup fait rire, qui me donne envie de lire la suite, Take the Cat out of Slough, ainsi que d’autres livres sur les chats !

Talk to the Snail de Stephen Clarke

Posté : 29 mars, 2017 @ 4:50 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Essai, Humoristique Talk to the Snail  

Editeur : Black Swan

Année de sortie : 2007

Nombre de pages : 258

Titre en français : Français, je vous haime

Synopsis : With useful sections on :

  • Making sure you get served in a café
  • Harassing French estate agents
  • Living with bacteria
  • Pronouncing French swear-words
  • Surviving the French driving experience
  • Falling in amour, Paris-style

And beaucoup, beaucoup more!

Don’t go to France without reading this book!

The only book you’ll need to understand what the French really think, how to get on with them and, most importantly, how to get the best out of them.

 

Avis : Cela fait un moment que je voulais lire un livre de cet auteur, je me suis finalement lancée avec celui-ci !

Tout d’abord, il n’y a pas dix commandements, mais onze, ce qui est formidable quand on aime le livre, beaucoup moins quand on ne l’apprécie pas. Heureusement pour moi, je fais partie de ceux qui ont adoré ! J’ai imaginé Talk to the Snail entre les mains de certains Français, et je me suis dit que ceux-ci ne riraient pas du tout, mais râleraient en disant qu’ils ne sont pas comme ça, que ce sont des clichés, etc. Bien sûr, tous les Français ne sont pas comme décrits ici, mais la plupart des remarques faites par l’auteur sont vraies, il est difficile de le nier ! Oui, les Français pensent qu’ils ont toujours raison, sans doute la raison pour laquelle ils sont si chauvins ! Oui, ils conduisent mal, et râlent dès que possible ; oui, les administrations sont mal faites, etc. J’ai aussi été surprise de constater des choses que je fais tous les jours, et qui ne sont pas naturelles en Angleterre, qui ont parues étranges à l’auteur du livre quand il est arrivé en France, comme les différentes façons de se dire bonjour, le fait de dire bonsoir, la politesse/impolitesse de laquelle on peut user parfois. Je ne pensais vraiment pas que c’était « typiquement » français. De plus, il faut vraiment avoir de l’humour pour lire ce livre et, quand on est Français, de l’autodérision ! J’ai éclaté de rire parfois, tant je ne m’attendais pas à ce que j’ai lu ; j’ai écarquillé les yeux en me demandant si tous les étrangers voyaient les Français de cette façon – parce que nous ne sommes pas vraiment sympathiques au premier abord visiblement ! - ; j’ai acquiescé quand je me rendais compte que l’auteur avait raison. De plus, tout ce qui est écrit est étayé d’un ou plusieurs exemples, souvent drôles et révélateurs. Je me suis aussi rendue compte qu’il n’était pas si évident pour un étranger de se retrouver en France et de comprendre tous les usages, de ne pas faire de faux pas ; j’ai adoré la partie sur la prononciation ! Le français est difficile à apprendre, et difficile à prononcer car nous sommes à peu près les seuls à dire le son [r] tel que nous le faisons : c’est impossible pour un Anglais ou un Italien de parvenir à le dire correctement du premier coup ! J’ai aimé ce décorticage du comportement des Français et des Françaises, mais aussi celui de leur culture : l’auteur en parle comme de quelque chose de vieux, qui stagne d’un côté, et comme (ce sont ses propres mots) de la merde d’un autre côté, en ce qui concerne la culture contemporaine. Bien sûr, encore une fois, il ne généralise pas, mais on comprend bien les points qui l’agacent – en littérature, les auteurs qui racontent leur vie ; en cinéma, ceux qui font des films à propos de divorce dans des appartements parisiens ! J’ai appris pas mal de choses que je ne savais pas ! Il parle également de notre système éducatif, qui, pour lui, laisse les élèves livrer à eux, sans parler de la fac, qui décourage les étudiants dès la première année avec des profs qui se fichent complètement d’eux. Il évoque aussi les grèves, la solidarité dans les mouvements sociaux, la sexualité des Français, l’amour à la française, les hommes politiques, nos habitudes culinaires. Malgré les moqueries légères qu’on peut sentir un peu partout, le lecteur sent également l’amour ressenti pour le pays, l’admiration parfois. Tout n’est pas négatif, loin de là. Souvent, les Français sont eux-mêmes « victimes » de ce dont parle l’auteur (quand il parle de la Poste, j’avais presque envie de poser virtuellement mon bras sur ses épaules pour lui dire que je le comprenais !!). Enfin, il conclut sur le fait qu’au fond, nous nous aimons bien, Anglais et Français, mais que nous ne l’avouerons jamais, préférant cette relation mi-admiration mi-répulsion.

 

Donc, un livre que j’ai adoré, qui m’a beaucoup fait rire ! J’ai hâte de découvrir les autres livres de l’auteur !

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