Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Come as You Are: the surprising new science that will transform your sex life d’Emily Nagoski

Posté : 7 novembre, 2020 @ 11:17 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Essai, ScienceCome as You Are

Editeur : Scribe

Année de sortie : 2019 [2015]

Nombre de pages : 335

Synopsis : An essential exploration of women’s sexuality that will radically transform your sex life into one filled with confidence and joy.

After all the books that have been written about sex, all the blogs and TV shows and radio Q&As, how can it be that we all still have so many questions?

The frustrating reality is that we’ve been lied to — not deliberately, it’s no one’s fault, but still. We were told the wrong story.

Come As You Are reveals the true story behind female sexuality, uncovering the little-known science of what makes us tick and, more importantly, how and why. Sex educator Dr Emily Nagoski debunks the common sexual myths that are making women (and some men!) feel inadequate between the sheets.

Underlying almost all of the questions we still have about sex is the common worry: ‘Am I normal?’ This book answers with a resounding Yes! We are all different, but we are all normal — and once we learn this, we can create for ourselves better sex and more profound pleasure than we ever thought possible.

 

Avis : A VENIR

Factfulness: Ten Reasons We’re Wrong About the World – and Why Things Are Better Than You Think de Hans Rosling, Ola Rosling et Anna Rosling Rönnlund

Posté : 7 novembre, 2020 @ 11:09 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : EssaiFactfulness

Editeur : Sceptre

Année de sortie : 2019 [2018]

Nombre de pages : 259

Titre en français : Factfulness

Synopsis : Factfulness:The stress-reducing habit of only carrying opinions for which you have strong supporting facts.

When asked simple questions about global trends – why the world’s population is increasing; how many young women go to school; how many of us live in poverty – we systematically get the answers wrong. So wrong that a chimpanzee choosing answers at random will consistently outguess journalists, Nobel laureates, and investment bankers.

In Factfulness, Professor of International Health and a man who can make data sing, Hans Rosling, together with his two long-time collaborators Anna and Ola, offers a radical new explanation of why this happens, and reveals the ten instincts that distort our perspective.

It turns out that the world, for all its imperfections, is in a much better state than we might think. But when we worry about everything all the time instead of embracing a worldview based on facts, we can lose our ability to focus on the things that threaten us most.

Inspiring and revelatory, filled with lively anecdotes and moving stories, Factfulness is an urgent and essential book that will change the way you see the world.

 

Avis : A VENIR

In Pop We Trust : la philo par les grands classiques de la culture pop ! de Marianne Chaillan

Posté : 23 octobre, 2020 @ 6:02 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Philosophie, EssaiIn Pop We Trust

Editeur : Editions des Equateurs

Année de sortie : 2020 (28 octobre)

Nombre de pages : 252

Synopsis : Quel est le point commun entre Joker, Friends, Breaking Bad ou Star Wars ? Tous sont des classiques de la culture pop. Tous nous ont enthousiasmés et divertis. Ils font désormais partie de nous, de notre imaginaire, de notre langage.

Pourtant les tenants de la grande culture, la « vraie », affectent de les mépriser, les jugent niais ou inconsistants. « Plutôt Phèdre que Netflix ! » Plutôt Racine que La Casa de Papel. Or, n’est-il pas possible d’aimer l’un comme l’autre ? Et opposer les deux, n’est-ce pas ignorer la vertu pédagogique du divertissement ?

L’Anneau de Tolkien nous rappelle celui du berger Gygès dont parle Platon et nous interroge sur la nature humaine. Orange is the New Black nous fait réfléchir au sens de la justice en compagnie de Socrate et d’Aristote. L’histoire d’amour de Jack et Rose à bord du Titanic nous permet de comprendre ce que Levinas nomme « la véritable rencontre avec autrui. » Chacun de ces immenses succès populaires nous pose au moins une grande question philosophique.

In Pop We Trust est donc un cri de ralliement. Une invitation à considérer la profonde sagesse de nos mythes contemporains et à en tirer tous les enseignements. Un manuel de philosophie, pour le bac ou pour la vie, autant qu’un manifeste du gai savoir.

De Harry Potter à l’école de la philosophie à Pensez-vous vraiment ce que vous croyez penser ?, en passant par ses ouvrages consacrés à Disney et Game of Thrones, Marianne Chaillan nous apprend à philosopher dans la joie.

 

Avis : Dès que j’ai appris l’existence de ce livre, j’ai demandé un service presse aux Editions des Equateurs, que je remercie encore ! Depuis Ainsi philosophait Amélie Nothomb, je ne rate aucune sortie de Marianne Chaillan !

Comme les livres précédents que j’ai lus de l’autrice, sans grande surprise, j’ai adoré In Pop We Trust !

Le lecteur se voit proposer un petit voyage au pays des philosophes à travers l’analyse de plusieurs séries et films emblématiques de la culture pop, films et séries qu’il/elle a adorés, que ce soit des œuvres déjà traitées dans des livres précédents, comme Harry Potter et Game of Thrones, ou des petits nouveaux, comme Jurassic Park ou La Casa de Papel ! L’association peut paraître incongrue au premier abord – que peuvent bien nous apprendre ces divertissements considérés comme étant de la « sous-culture » par certains ? – ; elle est pourtant enrichissante de deux manières. D’abord, elle apporte un nouvel éclairage sur l’œuvre abordée : je n’avais jamais pensé à La Casa de Papel ou à Indiana Jones de cette façon ! Ensuite, elle permet aux lecteurs de renouer avec ou de découvrir des concepts et des notions philosophiques qui enrichissent à leur tour sa réflexion, que ce soit sur les séries/films évoqués, sur d’autres œuvres ou simplement pour le plaisir de la réflexion en elle-même !

Comme dans ses ouvrages antérieurs, Marianne Chaillan explique clairement tout en ne prenant pas le lecteur pour un imbécile. Elle lui tient la main pour le guider, mais n’emploie jamais un ton maternaliste. Les exemples, précis et « racontés » avant d’en venir à l’explication philosophiques, vont, en revanche, spoiler ceux qui n’ont pas vu les séries/films analysés ; pour autant, je ne le regrette pas car l’autrice m’a donné envie de regarder La Casa de Papel alors que ce n’était pas le cas avant de lire son livre ! Elle m’a également donné envie de lire/relire certaines œuvres, soit issues de la culture pop comme Hunger Games ou Jurassic Park, soit philosophiques, comme La République ou Le Gai Savoir !

Enfin, j’ai adoré le message de cette non-fiction, message très clairement explicité dans la préface : cesser de mépriser la culture populaire et de croire qu’elle n’a rien à nous apprendre. Cesser d’être élitiste, en somme, et de prôner le retour aux classiques en insultant la culture pop qui serait, comme je l’ai mentionné plus haut, une « sous-culture ». Cesser de faire une distinction entre la « vraie » culture et « l’autre », celle qui ne doit pas être considérée ou étudiée parce qu’elle n’en est pas digne. Cela me rappelle la distinction entre la « vraie » littérature et « l’autre ». Existe-t-il donc des « faux » livres ? Mince, je n’ai jamais fait attention, quel dommage !
Pour autant, l’autrice rappelle qu’il ne faut pas tomber dans un autre travers, qui s’oppose à celui-ci : mépriser les classiques. « Appliquez-vous à garder, en tout chose, le juste milieu. » Suivons donc le conseil de Confucius : lisons Phèdre tout en regardant Netflix ! Pourquoi se priver de l’un ou l’autre quand nous pouvons apprécier les deux ?

 

Donc, un excellent essai qui m’a donné envie de me replonger dans mes classiques pop !

Vesper Flights d’Helen MacDonald

Posté : 8 octobre, 2020 @ 10:43 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Essai, MémoiresVesper Flights

Editeur : Grove Press

Année de sortie : 2020

Nombre de pages : 258

Titre en français : pas encore traduit

Synopsis : Animals don’t exist in order to teach us things, but that is what they have always done, and most of what they teach us is what we think we know about ourselves.

Helen Macdonald’s bestselling debut H is for Hawk brought the astonishing story of her relationship with goshawk Mabel to global critical acclaim and announced Macdonald as one of this century’s most important and insightful nature writers. H is for Hawk won the Samuel Johnson Prize for Nonfiction and the Costa Book Award, and was a finalist for the National Book Critics Circle Award and the Kirkus Prize for Nonfiction, launching poet and falconer Macdonald as our preeminent nature essayist, with a semi-regular column in the New York Times Magazine.

In Vesper Flights Helen Macdonald brings together a collection of her best loved essays, along with new pieces on topics ranging from nostalgia for a vanishing countryside to the tribulations of farming ostriches to her own private vespers while trying to fall asleep. Meditating on notions of captivity and freedom, immigration and flight, Helen invites us into her most intimate experiences: observing songbirds from the Empire State Building as they migrate through the Tribute of Light, watching tens of thousands of cranes in Hungary, seeking the last golden orioles in Suffolk’s poplar forests. She writes with heart-tugging clarity about wild boar, swifts, mushroom hunting, migraines, the strangeness of birds’ nests, and the unexpected guidance and comfort we find when watching wildlife. By one of this century’s most important and insightful nature writers, Vesper Flights is a captivating and foundational book about observation, fascination, time, memory, love and loss and how we make sense of the world around us.

 

Avis : Depuis que j’ai vu Olive de la chaîne abookolive parlait de H Is for Hawk (M pour Mabel), j’ai très envie de lire Helen MacDonald. Quand j’ai vu ce livre sur NetGalley, je ne pouvais pas résister ! 

Vesper Flights est un recueil d’essais courts sur différents sujets, majoritairement centré sur la nature, les animaux et notre relation avec eux. Certains d’entre eux traitent également de « chez-soi« , d’immigration, du changement climatique, de nos émotions et de notre façon de les projeter sur la nature et les animaux, de chercher des signes là où ne se trouve, en réalité, qu’une brève rencontre entre deux espèces qui ne se comprennent pas et qui partagent leur vie pendant une seconde, une minute.

Ce livre m’a fait voir la vie, la nature, les animaux différemment – l’essai avec l’autruche vers la fin du recueil m’a mise assez mal-à-l’aise, m’a un peu choquée, comme la personne qui accompagne l’autrice à ce moment-là d’ailleurs. J’aime comme Helen MacDonald explique que les animaux ne sont pas là pour nous donner des leçons mais le font tout de même parce que nous leur prêtons un sens particulier, parce qu’ils représentent quelque chose de symbolique pour nous. J’ai adoré qu’elle tente de parler de leur vie sans mentionner les hommes. Nous ne pouvons pas les comprendre parce que nous tentons d’expliquer leurs comportements à travers nos filtres humains. Le monde est beaucoup plus riche et Helen MacDonald tente de nous montrer cette richesse.
J’ai complètement adhéré ! J’ai beaucoup appris, je me suis émerveillée parfois. Je dois l’admettre tout de même, au début, je me suis demandé pourquoi je lisais ce livre sur les oiseaux – parce que je pensais qu’ils étaient le sujet principal – alors que je ne savais rien d’eux ! J’ai vu le monde d’une autre façon, j’ai découvert des choses auxquelles je n’avais jamais pensé, comme l’effet d’une nuée d’oiseaux sur un groupe de personnes ou ce que l’on ressent lors d’une éclipse et pourquoi, ce que signifie un « chez-soi » ou le fait que les oiseaux puissent voler pendant des mois sans s’arrêter …

La valeur de ce livre réside surtout pour moi dans son authenticité : il m’a émue, il était « vrai ». J’ai plusieurs fois été proche des larmes pour différentes raisons.
Certains essais sont assez tristes : le monde change et les gens détruisent le milieu naturel sans le savoir. Des espèces disparaissent et c’est une joie mêlée à une tristesse profonde que ressentent à la fois l’autrice et le lecteur quand ils ont la chance de voir un oiseau particulier dans un endroit spécifique – il peut être le dernier. Il peut aussi être perturbant de lire des « articles » à propos de chasseurs, d’ornithologues amateurs, de propriétaires d’oiseaux et d’essayer de les comprendre – je n’y parviens toujours pas pour les chasseurs.
Mais il est émouvant de passer un moment avec des bébés faucons, de les voir marcher de manière titubante, de rencontrer un ami qui aide à sauver et à relâcher dans la nature des oisillons tombés du nid. J’ai ressenti une telle allégresse en imaginant, en vivant cela au fil des pages.

Vesper Flights n’est pas seulement un recueil d’essais, c’est aussi, en partie, les mémoires de l’autrice. En effet, elle écrit en partant de son expérience personnelle ce qui ajoute encore au ton authentique de l’œuvre. Elle paraît proche du lecteur - en tout cas, je me suis sentie proche d’elle. J’avais envie de continuer à lire pour la retrouver, pour continuer à apprendre et à voir le monde à travers ses yeux, avec ses mots. 

 

Donc, ce livre est une belle découverte et je compte bien lire son premier ouvrage dès que possible !

Can’t Even: How Millenials Became the Burnout Generation d’Anne Helen Petersen

Posté : 27 septembre, 2020 @ 1:38 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Essai Can't Even

Editeur : Houghton Mifflin Harcourt

Année de sortie : 2020

Nombre de pages : 288

Titre en français : pas encore traduit

Synopsis : An incendiary examination of burnout in millennials—the cultural shifts that got us here, the pressures that sustain it, and the need for drastic change

Do you feel like your life is an endless to-do list? Do you find yourself mindlessly scrolling through Instagram because you’re too exhausted to pick up a book? Are you mired in debt, or feel like you work all the time, or feel pressure to take whatever gives you joy and turn it into a monetizable hustle? Welcome to burnout culture.

While burnout may seem like the default setting for the modern era, in Can’t Even, BuzzFeed culture writer and former academic Anne Helen Petersen argues that burnout is a definitional condition for the millennial generation, born out of distrust in the institutions that have failed us, the unrealistic expectations of the modern workplace, and a sharp uptick in anxiety and hopelessness exacerbated by the constant pressure to “perform” our lives online. The genesis for the book is Petersen’s viral BuzzFeed article on the topic, which has amassed over eight million reads since its publication in January 2019.

Can’t Even goes beyond the original article, as Petersen examines how millennials have arrived at this point of burnout (think: unchecked capitalism and changing labor laws) and examines the phenomenon through a variety of lenses—including how burnout affects the way we work, parent, and socialize—describing its resonance in alarming familiarity. Utilizing a combination of sociohistorical framework, original interviews, and detailed analysis, Can’t Even offers a galvanizing, intimate, and ultimately redemptive look at the lives of this much-maligned generation, and will be required reading for both millennials and the parents and employers trying to understand them.

 

Avis : J’ai reçu ce livre de la maison d’édition Houghton Mifflin Harcourt sur NetGalley !

J’ai eu du mal à sortir de ce livre après l’avoir terminé : c’est une lecture à la fois personnelle et difficile, qui touchera beaucoup de lecteurs de mon âge sans doute.

En effet, dans Can’t Even, Anne Helen Petersen tente d’expliquer pourquoi les millenials – c’est-à-dire les enfants du millénaire, ceux qui sont nés un peu avant l’année 2000 et qui ont atteint la majorité dans les années 2000-2010 – sont victimes de burnout, pourquoi ils sont incompris, pourquoi ils sont si anxieux et si coincés dans une vie qu’ils n’aiment pas mais dont ils ne peuvent pas se détacher. Elle commence par parler des parents, des boomers et de leur éducation - reçue et donnée – pour ensuite se concentrer sur les millenials.

Ce livre était à la fois très intéressant, très instructif et vraiment effrayant et déprimant à lire. Il n’était pas difficile pour moi de me sentir proche de ce que l’autrice décrit ou de quelques – voire la majorité des – personnes qui témoignent tout au long du livre. Parfois, je me disais : « Oh, mais je me reconnais ici … oh, et ici … mais … non, je ne suis pas comme ça quand même ? »

Toute cette pression exercée sur les travailleurs et les parents est terrifiante. Toute cette fatigue et ces heures passées sur les réseaux sociaux sont déprimantes.
Mais c’est si vrai et si triste. Pas de temps pour les loisirs, et donc des semblants de loisir. Toujours être en compétition et toujours avoir l’impression qu’on ne suffira jamais.

Le seul point qui permet de « racheter » ce livre est le fait que l’autrice n’est pas là pour nous donner des solutions – elle n’en a pas, ce qui est normal – ; elle écrit pour nous aider à ouvrir les yeux et pour que nous comprenions que nous ne sommes pas seuls dans cette situation, que toute notre génération – ou presque – se trouve dans la même impasse. Nous ne sommes pas responsables de ce que nous ressentons. Nous pouvons essayer de faire toujours plus, cela ne changera rien parce que la solution n’est pas là. Nous ne sommes pas « cassés », c’est le système qui l’est et qui nous écrase sur son passage.
Cela m’a fait du bien de lire que nous n’étions pas fautifs. Parce que, parfois, j’ai l’impression que nous courons sans but et que nous pensons être les seuls coupables de notre situation, que c’est notre faute parce que nous n’avons pas couru assez vite ou dans la bonne direction. Je me suis sentie soulagée à la lecture de certains passages, même s’ils restent profondément tristes. Quel désordre. Quel gâchis. En lisant, j’ai eu l’impression d’une génération complète jetée en pâture aux chiens du capitalisme radical.

Je dois quand même préciser : l’autrice est américaine, je suis française. Donc la situation décrite est surtout celle des Etats-Unis. Pendant que je lisais, je me disais : « Mais heureusement, HEUREUSEMENT que je ne suis pas américaine ! » C’était intéressant pour moi de découvrir le pays de cette façon. Fini le rêve américain, fini le self-made man, bonjour dépression, anxiété, angoisse et syndrome de l’imposteur. Pour la première fois depuis longtemps, j’étais contente d’être française. Le système scolaire américain ressemble à un cauchemar ; étant étrangère, tout ce que j’en connaissais, c’était l’Ivy League ! J’en ai rêvé, j’ai regretté de ne pas pouvoir en intégrer une. Ce n’est plus le cas. Ce livre m’a permis de me rendre compte que j’avais encore une image idéalisée des Etats-Unis.

Je pense que j’avais besoin de ce livre : pour savoir, pour comprendre et pour ne plus être irritée par les gens qui parlent des millenials en des termes … peu élogieux dira-t-on. C’était important de commencer le livre par la partie sur nos parents et les boomers en général : cela permet de contextualiser notre propre expérience sociale et de nous aider à comprendre leur situation et la nôtre.

 

Donc, une excellente lecture, quoiqu’assez déprimante et triste. C’est important de savoir où nous en sommes et pourquoi.

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