Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

The Curious Incident of the Dog in the Night-Time de Mark Haddon

Posté : 30 juillet, 2019 @ 11:25 dans Avis littéraires | 2 commentaires »

Genre : Contemporaine The Curious Incident of the Dog in the Night-Time

Editeur : Vintage

Année de sortie : 2004 [2003]

Nombre de pages : 268

Titre en français : Le Bizarre incident du chien pendant la nuit

Synopsis : The Curious Incident of the Dog in the Night-Time is a murder mystery novel like no other. The detective, and narrator, is Christopher Boone. Christopher is fifteen and has Asperger’s Syndrome. He knows a very great deal about maths and very little about human beings. He loves lists, patterns, and the truth. He hates the colours yellow and brown and being touched. He has never gone further than the end of the road on his own, but when he finds a neighbour’s dog murdered he sets out on a terrifying journey which will turn his whole world upside down.

 

Avis : J’ai trouvé ce livre à la bibliothèque de ma ville, pendant une vente !

Je pensais adorer ; ce ne fut pas le cas. Je ne sais pas à quoi je m’attendais, mais pas à ça. J’aime beaucoup l’intention : ici, le narrateur est atteint du syndrome d’Asperger, donc la narration donne une idée de la manière dont pense une personne qui en souffre. Mais je n’ai justement pas apprécié ce livre à cause de la façon dont il est écrit. J’ai bien compris l’idée, mais je n’ai pas aimé, je n’ai pas réussi à entrer pleinement dans l’histoire ; tout le long, je me suis sentie détachée de l’histoire et des personnages. Je n’ai pas adhéré à l’enquête, qui n’en est pas vraiment une, et, même si certains passages m’ont émue, je n’ai pas été surprise par le gros rebondissement du roman. Je suis contente de ne pas avoir abandonné ce livre pour autant – parce que j’y ai pensé à un moment donné, tant je prenais peu de plaisir à lire ! – parce que j’ai vraiment aimé les deux dernières pages. Sans doute à cause de la façon d’écrire, ce roman m’a semblé long, et un peu répétitif, même s’il reste très intéressant. Je suis vraiment triste de ne pas avoir aimé ! J’essayerai tout de même d’autres livres de l’auteur !

 

Donc, une bonne idée, mais je n’ai pas adhéré à l’exécution !

 

Fangirl de Rainbow Rowell

Posté : 14 juillet, 2019 @ 1:25 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : ContemporaineFangirl

Editeur : St. Martin’s Griffin

Année de sortie : 2015 [2013]

Nombre de pages : 446

Titre en français : Fangirl

Synopsis : A coming-of-age tale of fanfiction, family, and first love

Cath is a Simon Snow fan.

Okay, the whole world is a Simon Snow fan, but for Cath, being a fan is her life – and she’s really good at it. She and her twin sister, Wren, ensconced themselves in the Simon Snow series when they were just kids; it’s what got them through their mother leaving.

Reading. Rereading. Hanging out in Simon Snow forums, writing Simon Snow fanfiction, dressing up like the characters for every movie premiere.

Cath’s sister has mostly grown away from fandom, but Cath can’t let go. She doesn’t want to.

Now that they’re going to college, Wren has told Cath she doesn’t want to be roommates. Cath is on her own, completely outside of her comfort zone. She’s got a surly roommate with a charming, always-around boyfriend; a Fiction-Writing professor who thinks fanfiction is the end of the civilized world; a handsome classmate who only wants to talk about words… and she can’t stop worrying about her dad, who’s loving and fragile and has never really been alone.

For Cath, the question is: Can she do this? Can she make it without Wren holding her hand? Is she ready to start living her own life? And does she even want to move on if it means leaving Simon Snow behind?

 

Avis : Je ne lis pas énormément de contemporains, et encore moins des contemporains YA : ce n’est tout simplement pas mon style. Donc, j’appréhendais un peu cette lecture !

Je ne m’attendais pas du tout à être autant charmée par ce roman. J’ai été entraînée dans l’histoire, j’étais avec les personnages, j’ai (pratiquement) tout aimé !

Je vais commencer par vous parler de ce que je n’ai pas tellement apprécié, histoire de laisser le négatif de côté ensuite ! Je n’ai pas compris l’utilisation d’un procédé dans le roman parce qu’il n’est utilisé qu’une seule fois : le narrateur raconte un dialogue entre Cath et Levi, et Cath commente le choix de verbes du narrateur. C’était très étrange, et incohérent par rapport à tout le reste de la narration. J’ai trouvé certaines scènes amoureuses très gênantes ! Et enfin, je n’ai pas été séduite par la fin : le roman me semble presque inachevé à vrai dire, c’est assez frustrant ! Je m’attendais à quelque chose d’autre.

Pour autant, tout cela n’a pas suffi à déprécier Fangirl à mes yeux ! J’ai tout aimé, même la romance qui, d’ordinaire, ne me séduit pas ! Ici, j’avais vraiment envie que les personnages se mettent ensemble, j’avais envie qu’ils avancent, j’étais à fond derrière eux ! J’ai adoré le décor : l’histoire se passe majoritairement à l’université, et j’aime beaucoup les romans de ce genre – ce qui explique, en partie, pourquoi j’adore The Secret History (Le Maître des illusions) et les Fantasy dans lesquels on trouve des académies magiques ! Les relations entre les personnages étaient parfois très maladroites, parfois très drôles : c’est le cas entre Wren et Cath, qui sont visiblement complémentaires et fusionnelles, mais qui ne savent pas toujours comment se faire comprendre de l’autre. J’ai adoré leur père ! J’ai adoré le fait qu’elles soient jumelles !! J’ai tout aimé !!

J’ai aimé le traitement de la fandom ; j’ai lu que certains lecteurs s’attendaient à ce que ce soit plus mis en avant, à ce que ce soit, peut-être, le centre du roman. Mais j’ai plus l’impression que Fangirl est une histoire du genre : « Comment avancer dans la vie tout en restant une fan, et ne pas se laisser consumer par la fandom, comme on pourrait le faire au lycée ». J’ai aimé que ce ne soit pas un roman qui dénigre les fandom, mais qui le met en avant tout en rappelant qu’il est important de vivre aussi dans la « vraie » vie ! La fandom est un moyen pour Cath de se protéger du monde et des autres, en quelque sorte ; j’ai adoré qu’elle s’ouvre peu à peu, tout en restant la même au fond. J’ai aimé la façon qu’a l’autrice de traiter de troubles mentaux et/ou psychologiques, comme la dépression, l’anxiété ou l’alcoolisme. Je me suis énormément identifiée à Cath à certains moments – c’était quasi magique ! – ; à d’autres, j’ai reconnu certains de mes proches en elle ! Enfin, j’ai adoré les moments consacrés à l’écriture de fiction, et les parties des romans Simon Snow, ou de la fanfiction qu’écrit Cath. J’ai entendu dire que ces bribes d’œuvres pouvaient être agaçantes, mais ce n’est pas comme ça que je les ai vues. Au contraire, elles m’ont donné très envie de lire Carry On ! Et de relire Harry Potter !

Ce livre est aussi un condensé d’émotions diverses : indignation, tristesse, empathie, joie. [SPOILER] J’étais folle de rage contre Nick pour avoir volé l’histoire de Cath !! Je savais qu’il voulait faire un truc du genre, et je m’attendais à ce que le professeur reconnaisse l’écriture de Cath ! Quelle magnifique scène, quand Cath remballe Nick devant tous ses proches, et qu’ils font une sorte de barrière entre elle et lui pour la protéger, si jamais elle a besoin d’aide ! [FIN DU SPOILER] A la fin, je voulais que tous ces personnages soient heureux … et un deuxième tome, pour les suivre à nouveau l’année suivante ! Ce livre n’existe pas et, quelque part, heureusement ; peut-être qu’il aurait été moins bon que Fangirl, et donc, j’aurais été déçue. Ce n’est donc pas plus mal !

 

Donc, une très belle surprise, un beau coup de cœur !

Tuer le père d’Amélie Nothomb

Posté : 26 avril, 2019 @ 2:51 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : ContemporaineTuer le père

Editeur : France Loisirs (Piment)

Année de sortie : 2012 [2011]

Nombre de pages : 151

Synopsis : Allez savoir ce qui se passe dans la tête d’un joueur. 

 

Avis : Cela faisait un moment que j’avais lu un roman d’Amélie Nothomb !

Je suis contente d’avoir retrouvé son écriture et, en même temps, je n’ai pas été séduite par Tuer le père. Même le style manquait de quelque chose pour être aussi bon que d’habitude. J’y ai trouvé quelques réflexions intéressantes, mais pas autant que dans d’autres de ces romans. Pour être honnête, je pense que ce livre a souffert de la comparaison avec d’autres œuvres que j’ai lues de l’autrice !

Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, et je ne me suis pas intéressé à l’histoire. Le sujet était assez inhabituel pour moi, mais je n’ai pas réussi à le trouver attrayant. J’ai pourtant appris certaines choses, par exemple, sur le Burning Man que je ne connaissais pas du tout !

La réflexion centrale sur le complexe d’Œdipe est intéressante, notamment parce qu’elle [SPOILER] ne le reprend pas de manière habituelle. Ici, ce n’est pas tant le fils qui veut tuer le père que le père qui veut garder son fils. [FIN DU SPOILER] La folie prend une place de plus en plus grande dans le roman, ce qui peut être troublant. Je ne suis pas une grande fan de la fin.

En revanche, un trope que j’ai beaucoup aimé dans ce livre : le fait que l’autrice se mette en scène en incluant, dans son roman, un personnage qui s’appelle Amélie Nothomb ! J’adore les mises en abîme et les jeux de ce genre !

 

Donc, pas le meilleur d’Amélie Nothomb, mais il se lit !

 

Saturday de Ian McEwan

Posté : 27 mars, 2019 @ 1:12 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : ContemporaineSaturday

Editeur : Vintage 

Année de sortie : 2006 [2005]

Nombre de pages : 281

Titre en français : Samedi 

Synopsis : Saturday, February 15, 2003. Henry Perowne is a contented man – a successful neurosurgeon, the devoted husband of Rosalind and proud father of two grown-up children. Unusually, he wakes before dawn, drawn to the window and filled with a growing unease. As he looks out at the night sky he is troubled by the state of the world – the impending war against Iraq, a gathering pessimism since 9/11, and a fear that his city and his happy family life are under threat.

Later, as Perowne makes his way through London streets filled with hundreds of thousands of ani-war protestors, a minor car accident brings him into a confrontation with Baxter, a fidgety, aggressive young man, on the edge of violence. To Perowne’s professional eye, there appears to be something profoundly wrong with him. But it is not until Baxter makes a sudden appearance as the Perowne family gathers for a reunion that Henry’s earlier fears seem about to be realised.  

 

Avis : Ce livre m’a été prêté il y a très longtemps par une amie et je l’ai ENFIN lu ! #vivemoi

J’ai eu du mal à entrer dans Saturday ; après avoir lu Utopies réalistes, il était assez difficile pour moi de lire l’histoire d’un samedi dans la vie d’un neurochirurgien reconnu. De plus, je pense que les livres de Ian McEwan ne sont qu’à moitié fait pour moi. J’adore l’écriture et les réflexions amenées par l’auteur, mais je ne ressens rien pour les personnages et l’histoire ne me transporte pas.

Je n’ai pas réussi à apprécier Perowne avant la dernière partie du livre. Il m’a parfois semblé snob et hypocrite. Par exemple, quand il parle de la littérature de l’imaginaire et qu’il critique ses écrivains en disant qu’ils n’ont qu’une imagination pauvre, que ce n’est pas vraiment de l’imagination ; ou quand il pense que les gens peuvent se passer d’histoires pour vivre, qu’ils n’en ont pas besoin, contrairement à ce que pense sa fille Daisy. Hypocrisie quand on se rend compte que ce personnage, deux secondes après, se précipite sur la télé pour vérifier que l’histoire qu’il s’est inventée au petit matin est vraie ou non ! Au contraire, j’avais hâte de rencontrer Daisy ! Sans doute à cause de l’amour que lui porte son père, mais aussi parce que je me sentais proche d’elle, plus proche que de lui, sans aucun doute ! En fait, leur relation père/fille m’a fait penser à celle que j’ai avec mon propre père. Ce livre me touchait donc de près !

Etant donné que c’est un samedi ordinaire dans la vie d’un neurochirurgien, j’ai eu peur que rien ne se passe, et de m’ennuyer. Ce ne fut pas le cas ; mais je n’avais pas non plus une envie folle de poursuivre la lecture quand je posais le livre. Je n’ai pas été happée par l’histoire de Perowne. Et l’accident qui déclenche toute l’histoire ne m’a pas surprise, puisque le synopsis le mentionnait déjà ! Je ne devrais vraiment plus lire les synopsis, ils gâchent parfois tout !

La seule chose que j’ai aimé à propos de Perowne au début, c’est sa lucidité. Il comprend qu’étant donné qu’il est plutôt riche en Angleterre, il n’a pas les pires problèmes du monde, qu’il est plutôt facile de les résoudre. Il m’a tout de même semblé snob à certains moments ! J’ai aussi lu une chronique de lecteur qui disait que « tout le monde est talentueux et parfait », ou quelque chose du genre. Je suis plutôt d’accord, mais cela ne m’a pas dérangée. Cela peut paraître un peu invraisemblable pour certains. Mais, on ne peut pas dire pour autant que ce livre est exaltant ou qu’il remonte le moral. Je me suis sentie plutôt déprimée en le lisant, surtout quand Perowne pense à sa vie quand ses enfants seront partis, qu’il sera seul avec sa femme, quand il aura cinquante ans et devra renoncer à la plupart de ses hobbies. C’est déprimant parce qu’on a clairement l’impression que la vie n’a pas de sens, qu’elle est inutile. Cela fait écho aux pensées du personnage à propos des biographies : il est déprimé qu’une vie puisse être résumée en quelques centaines de pages !

Pour autant, j’aime toujours le style d’écriture de l’auteur. C’est fluide, même s’il peut paraître lent ; c’est agréable à lire. J’aime aussi les réflexions qu’il apporte à son livre, sur différents sujets : les enfants, la vieillesse qui approche, le terrorisme, la peur, les responsabilités, le travail. Cela donne matière à réfléchir, et rien que pour ça, Saturday vaut la peine d’être lu.

 

Donc, je n’ai pas adoré, mais je n’ai pas détesté non plus. C’était une lecture intéressante, qui touche des sujets importants, mais aussi personnels. Je continuerai à lire Ian McEwan, sans doute avec Atonement.

 

Le Lièvre de Vatanen d’Arto Paasilinna

Posté : 23 février, 2019 @ 2:43 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Contemporaine Le Lièvre de Vatanen

Editeur : Folio

Année de sortie : 2013 [1975] 

Nombre de pages : 236

Titre en VO : Jäniksen Vuosi

Synopsis : Vatanen est journaliste à Helsinki. Alors qu’il revient de la campagne, un dimanche soir de juin, avec un ami, ce dernier heurte un lièvre sur la route. Vatanen descend de voiture et s’enfonce dans les fourrés. Il récupère le lièvre blessé, lui fabrique une grossière attelle et s’enfonce délibérément dans la nature.

Ce roman-culte dans les pays nordiques conte les multiples et extravagantes aventures de Vatanen remontant au fil des saisons vers le cercle polaire avec son lièvre fétiche en guise de sésame. Il invente un genre : le roman d’humour écologique. 

 

Avis : Un livre de plus, cette fois dans ma PAL d’hiver !! (mais c’est que je respecte mes PALs cette année !!) Ça fait un moment que Le Lièvre de Vatanen se trouve sur mes étagères, et je me suis dit qu’était donné que c’était un roman scandinave, quel meilleur moment pour le lire que la fin de l’hiver !!

… sauf que l’action se déroule en été ! Juste pendant la première partie du roman ; ensuite le lecteur a droit à la neige !

Alors, Le Lièvre de Vatanen est le genre de livres qui, comme Neige de Maxence Fermine, ou Les Belles Endormies de Yasunari Kawabata, me laisse un goût d’inachevé, presque amer, quand je le referme. Et je déteste ça ! C’était étrange parfois, dans le bon sens, comme dans le mauvais. J’ai, par exemple, adoré le fait que Vatanen abandonne sa vie insatisfaisante à la ville pour partir dans la nature, sans attache excepté un levreau qu’il vient de renverser avec un ami photographe. Il remet tout en cause parce que sa vie ne lui convient pas, et il décide, sur un coup de tête, de découvrir une nouvelle façon de vivre. Je trouve cela assez beau, et encore plus beau est le lien qu’il tisse avec l’animal. C’était touchant, et ça donnerait presque envie de faire la même chose. Mais, d’un autre côté, j’ai trouvé qu’il était difficile, voire impossible de s’attacher à Vatanen. Sans doute parce que l’écriture est assez sèche – traduction ou intention de l’auteur ? –, et qu’il n’y a aucune psychologie des personnages. On ne connaît rien des pensées de Vatanen, rien de ce qu’il pense des autres, de leurs actions, de leur façon de vivre. Aucune réaction psychologique à quoi que ce soit. Et je dois dire que ça m’a un peu frustrée ! J’aime beaucoup les personnages travaillés, et je pense que j’en avais besoin ici.

J’ai pourtant aimé les réflexions/thèmes abordés par le livre : le besoin de liberté, l’attrait et le plaisir de la vie dans la nature. Travailler pour être véritablement utile, dormir là où l’on s’est arrêté, l’impossibilité de séparer homme et lièvre … C’était beau et attirant. J’ai appris pas mal de choses à propos de la Finlande, sur leur culture, leur mythologie, leur façon de voir la vie. J’aimerais d’ailleurs en apprendre plus encore ! Mais, j’ai détesté les passages dans lesquels Vatanen tue des animaux, sans aucune nécessité !! [SPOILER] Le fait que Vatanen achète un fusil juste après avoir tué un corbeau de façon aussi cruelle (!!) m’a d’abord laissé dubitative tout en me révulsant. Il aurait pu simplement le chasser avec une pierre, ou autre chose ; mais là !! C’était pénible à lire, même si ça ne dure que quelques lignes. Et savoir qu’il est satisfait de lui !! Et pour l’ours : sérieusement !!! Il traverse une frontière illégalement pour le tuer, alors qu’il sait très bien qu’il ne viendra plus le déranger vu où ils en sont arrivés ! Cela devient une question de fierté, et j’ai trouvé ça ridicule. [FIN DU SPOILER] Je dois admettre que ces actes ne sont pas loués par le narrateur, ni par le personnage (qui ne donne, de toute façon, jamais son opinion), mais tout de même … Et je me suis aussi souvenu que j’avais déjà lu un livre « de ce genre », dans lequel le personnage quitte une vie qui ne lui convient pas du tout pour partir à l’aventure : Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson. Que j’ai détesté. J’ai trouvé l’humour lourd et les aventures tellement improbables que je n’y croyais pas du tout. Cela ne m’a fait cet effet avec Vatanen que vers la fin, que j’ai, en elle-même, appréciée ! [SPOILER] J’adore quand l’auteur se met dans son propre livre et joue avec son lecteur ! Et j’ai aimé ce besoin final de liberté et la durabilité du lien entre homme/nature/animaux. [FIN DU SPOILER] Je dois tout de même spécifier que le synopsis parle de « roman d’humour écologique » : je suis d’accord avec l’écologie, mais j’ai rarement ri au cours de la lecture ! 

 

Donc, un livre parfois plaisant et parfois pénible, intéressant dans tous les cas.

 

1...45678...29
 

Baseball fans gather zone |
Eaudefiction |
Ici même |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Kpg1221gpk
| Elenaqin
| la saltarelle des baronnes