Redbluemoon

I found myself in Wonderland.

Archive pour mars, 2019

The Chronicles of Amber, book 2: The Guns of Avalon de Roger Zelazny

Posté : 13 mars, 2019 @ 3:01 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : Fantasy Amber

Editeur : Avon/Eos

Année de sortie : 2010 [1972]

Nombre de pages : 134

Titre en français : Les Chroniques d’Ambre, tome 2 : Les Fusils d’Avalon 

Synopsis : Roger Zelazny’s Chronicles of Amber have earned their place as all-time classics of imaginative literature. Now here are all ten novels, together in one magnificent omnibus volume. Witness the titanic battle for supremacy waged on Earth, in the Courts of Chaos, and on a magical world of mystery, adventure, and romance.

 

Avis : Je me suis dit qu’il était temps de poursuivre ma lecture du Cycle des Princes d’Ambre ! J’avais raison, étant donné que j’avais oublié pas mal de choses concernant le premier livre, alors que je l’ai lu il n’y a pas si longtemps !! (après vérification, presque un an quand même !)  

Malheureusement, je ne suis toujours pas pleinement convaincue par cette série ! Le monde est riche, un peu fou, ce que j’aime beaucoup, mais je ne parviens pas à m’attacher au personnage principal, Corwin, ni à aucun autre d’ailleurs ! L’action se déroule très rapidement, l’auteur ne s’attarde pas sur les détails ou de longues descriptions. Je suis très facilement distraite quand je lis Amber. Et les romances de Corwin … Je ne ressens aucune alchimie, et elles me semblent tellement rapides qu’elles ne sont pas cohérentes. Elles n’ajoutent pas non plus grand-chose à l’histoire pour moi – excepté peut-être de mauvais présages !

D’un autre côté, j’aime beaucoup l’écriture, et comment les phrases coulent. C’est très plaisant à lire, et très rapide. A la fin d’un tome, j’ai envie d’en savoir plus ! J’aime aussi beaucoup le fait que les personnages ne soient pas manichéens : pas de méchants ni de gentils, mais des hommes gris qui sont aussi bons que mauvais.

La fin était surprenante et m’a permis d’être vraiment dedans ! Elle m’a aussi donné envie d’enchaîner avec la suite ! (mais je me suis calmée depuis !)

Je pense que je vais rapidement lire la série, histoire de ne plus oublier la moitié du tome en cours de route !

 

Donc, un bon tome, une série au monde riche, mais dans laquelle je ne parviens pas à entrer.

 

Fire and Blood: A History of the Targaryen Kings from Aegon the Conqueror to Aegon III de George R. R. Martin

Posté : 12 mars, 2019 @ 12:01 dans Avis littéraires, Coup de cœur | Pas de commentaires »

Genre : Fantasy Fire and Blood

Editeur : HarperVoyager

Année de sortie : 2018

Nombre de pages : 706

Titre en français : Feu et sang, tome 1, partie 1 (le premier tome est divisé en deux pour la publication française !)

Synopsis : 4e de couverture :

Queen Visenya rose and stalked from the hall without the king’s leave.

That night she mounted Vhagar and returned to Dragonstone.

When her dragon passed before the moon, it turned as red as blood.

 

Intérieur de la jaquette :

The thrilling history of the Targaryens comes to life in this masterly work by the author of A Song of Ice and Fire, the inspiration for HBO’s Game of Thrones.

With all the fire and fury fans have come to expect from internationally bestselling author George R. R. Martin, this is the first volume of the definitive two-part history of the Targaryens in Westeros.

Centuries before the events of A Game of Thrones, House Targaryen – the only family of dragonlords to survive the Doom of Valyria – took up residence on Dragonstone. Fire and Blood begins their tale with the legendary Aegon the Conqueror, creator of the Iron Throne, and goes on to recount the generations of Targaryens who fought to hold that iconic seat, all the way up to the civil war that nearly tore their dynasty apart.

What really happened during the Dance of the Dragons? Why was it so Deadly to visit Valyria after the Doom? What were Maegor the Cruel’s worst crimes? What was it like in Westeros when dragons ruled the skies? These are but a few of the questions answered in this essential chronicle, as related by a learned maester of the Citadel.

With all the scope and grandeur of Gibbon’s The History of the Decline and Fall of the Roman EmpireFire and Blood is the ultimate game of thrones, giving readers a whole new appreciation for the dynamic, often bloody, and always fascinating history of Westeros.

Illustrated throughout by Doug Wheatly. 

 

Avis : J’ai vu beaucoup de commentaires agacés à l’annonce de la sortie de Fire and Blood, du genre : « Mais où est The Winds of Winter ? » J’avoue que je ne me suis pas tellement posé la question au début, tellement excitée de voir un nouveau livre sur Westeros sortir !! Et surtout sur les Targaryen en particulier !!

Les Targaryen sont ma famille préférée dans la série : je les trouve fascinants et des DRAGONS QUOI !! Donc, j’étais ravie de voir une série leur être consacrée. Mon enthousiasme a tout de même été légèrement douché en voyant la façon dont leur histoire était racontée ! Je pensais que ce serait une série dans le stylle de A Song of Ice and Fire, donc racontée avec différents points de vue, dans l’action même. Mais Fire and Blood est racontée à la manière de The World of Ice and Fire, c’est-à-dire, par un Archmaester de la Citadelle d’Oldtown ! Sur le coup, j’étais un peu déçue !! Je voulais lire une « véritable » série, vraiment suivre les personnages à la Cour, en live ! Au lieu de cela, Fire and Blood se lit comme une non-fiction historique, une grosse biographie des différents rois Targaryen. C’est toujours passionnant, et ça montre bien que le monde créé par Martin est « réaliste » dans le sens où il a une Histoire, qu’il ne se cantonne pas à une série ; mais tout de même … je m’attendais à autre chose ! Et, je ne sais pas si c’est à cause de l’effet non-fiction historique ou si j’avais simplement oublié l’écriture de Martin, mais ce livre est tellement LONG à lire !! Je me souviens avoir eu du mal avec The World of Ice and Fire parce que c’était long, et je mettais toujours à peu près quinze jours à lire un tome de A Song of Ice and Fire, mais là !! J’ai eu l’impression de sentir chaque page !! Impressionnant !!

Sinon, j’ai adoré découvrir des règnes/rois Targaryen que je connaissais peu (juste grâce à The World of Ice and Fire) ; mais la partie sur la Danse des Dragons m’a paru très longue, sans doute parce qu’elle reprend (avec un peu plus de détails, certes, mais quand même) les nouvelles présentes dans Rogues et Dangerous Women, respectivement « A King’s Brother » et « The Blacks and the Greens ». Zéro suspense et zéro surprise sur l’issue de la Danse ! Et c’est aussi un autre inconvénient de l’effet non-fiction historique : l’absence d’émotion et d’implication du lecteur. Certes, le narrateur joue parfois avec lui ou fait des petites allusions voilées, mais ce n’était pas suffisamment, selon moi, pour véritablement attirer le lecteur dans l’histoire. De plus, étant donné qu’il raconte l’histoire des Targaryen à partir de témoignages de leurs proches, il explique que, souvent, il n’est pas sûr de ce qui est véritablement arrivé ! J’avais tellement envie d’y être, de vivre l’action avec les personnages !!! Quelle frustration !!!

Malgré ces inconvénients, j’ai adoré ce livre pour son sujet, pour le retour à Westeros qu’il permet au lecteur, et pour les illustrations, qui sont magnifiques !! J’ai aimé que Martin soulève un problème qui existait à l’époque des rois d’antan : la succession féminine. Une femme n’est pas considérée comme capable de gouverner un pays. Si elle est l’aînée, on lui préfèrera son frère cadet. Si elle est seule héritière, on s’empressera de faire d’autres enfants, ou de lui préférer une branche cadette, le fils d’un frère, peu importe ! Ah, le sexisme médiéval … C’est ce qui amène la Danse des Dragons. Et cela soulève la question pour la dernière saison de la série TV Game of Thrones : Daenerys y sera-t-elle aussi confrontée ? Il est clair que ce sont les femmes qui règnent à Westeros dans le temps présent de la série ; la décision du conseil de 101 AC va-t-elle enfin être abrogée ? Sont-ce des pistes de réflexion que nous offrent Martin avant la fin de la série ? J’enrageais à chaque passage où les hommes expliquaient comment, par exemple, Rhaenyra ne pouvait pas gouverner parce qu’elle était une femme, peu importe qu’elle soit l’aînée des petits-enfants du roi Jaehaerys I ! Autant vous dire que je la soutenais complètement !! Elle fait partie de mes personnages préférés, avec la reine Alyssanne, son mari Jaehaerys et Daemon, le fils de Baelon et le frère de Viserys ! J’ai aussi adoré, du coup, retrouver les intrigues de Cour, les batailles, les questions d’honneur (ou l’absence de ce dernier !), la politique ! C’est, en partie, ce qui fait le sel de A Song of Ice and Fire ! Lire Fire and Blood m’a donné très envie d’enfin commencer Les rois maudits de Maurice Druon, la série qui a inspiré Martin pour sa première série ! Apparemment, ce « spin-off » a plutôt été inspiré de The Decline and Fall of the Roman Empire de Gibbon, un livre de plus de 1000 pages que j’ai envie de lire, mais qui me fait très peur !

Je ne m’y attendais pas mais, une fois le livre refermé, j’ai eu très envie de lire la suite (qui n’a, évidemment, pas encore de date de sortie !) J’ai très envie de découvrir le règne d’Aegon III et une ère sans dragons !! Et encore de l’attente … J’espère tout de même que The Winds of Winter sortira avant le deuxième tome de cette série !! 

 

Donc, un très bon livre historique, mais je m’attendais à du live action, et non à un compte-rendu des événements !

 

The Lunar Chronicles, book 4: Winter de Marissa Meyer

Posté : 7 mars, 2019 @ 2:38 dans Avis littéraires | Pas de commentaires »

Genre : SF, YAWinter

Editeur : Puffin Books

Année de sortie : 2015

Nombre de pages : 823

Titre en français : Les Chroniques lunaires, tome 4 : Winter 

Synopsis : Winter is admired for her grace, kindness and beauty, despite the scars on her face. She’s said to be even more breath taking than her stepmother, Queen Levana …

When Winter develops feelings for the handsome palace guard, Jacin, she fears the evil Queen will crush their romance before it has a chance to begin.

But there are stirrings against the Queen across the land. Together with the cyborg mechanic, Cinder, and her allies, Winter might even find the power to launch a revolution and win a war that’s been raging for far too long.

Can Cinder, Scarlet, Cress and Winter claim their happily-ever-afters by defeating Levana once and for all? 

 

Avis : Winter se trouve dans ma PAL depuis plus de deux ans et demi : il était vraiment temps de l’en sortir ! J’ai commencé cette série il y a trois ans !

Et peut-être est-ce la raison pour laquelle je n’ai pas pu accrocher au début ? Trop de temps a dû passer entre la lecture de Cinder, ou même celle de Cress, et de Winter : je me souvenais de l’histoire et des personnages, mais je n’étais plus tellement attachée à eux, et la romance, qui est omniprésente, m’a vite agacée. J’avais aussi envie d’être surprise ; or, je savais déjà comment finirait Winter ! J’ai donc décidé d’arrêter la lecture et de lire autre chose : Oliver Twist de Charles Dickens – mais trop sombre pour mon humeur – et Fire and Blood de George R. R. Martin ! Arrivée à la partie concernant la Danse des Dragons, que je connais déjà, je me suis dit que j’allais retenter Winter ; c’était quand même dommage d’abandonner une série que j’avais appréciée ! Et j’avais tout de même envie de savoir par quoi les personnages devaient passer pour obtenir leur happy ending !

En fin de compte, j’ai aimé ce voyage ! Comme je l’ai dit, j’ai eu du mal à m’attacher de nouveau aux personnages, mais, grâce à la longueur du livre, l’attachement a fini par revenir ! Même si la fin est évidente, les personnages doivent affronter de nombreuses épreuves tout le long du livre. [SPOILER POTENTIEL] Chacun d’entre eux échappe de peu à la mort. [FIN DU SPOILER] Horreur, sang, chagrin, tristesse … le pire reste quand même la maladie : [SPOILER] quand Levana parle d’infecter son propre peuple, je me disais : « Non, pitié, pas la letumosis encore ! » ça m’a rendu malade qu’elle empoisonne Winter ! [FIN DU SPOILER] C’est là que je me suis rendu compte qu’une de mes plus grosses peurs, c’est la pandémie. Je ne lirai jamais The Stand de Stephen King, et je comprends mieux pourquoi Station Eleven m’a mise autant mal à l’aise ! Malgré la longueur du livre, je ne me suis pas ennuyée : il y avait toujours de l’action, et c’est sans doute la raison pour laquelle je n’ai pas abandonné la lecture !

Bien sûr, ce tome réécrit l’histoire de « Blanche-Neige » : je me suis amusée à retrouver les scènes-clé du conte ! [SPOILER] Certains étaient évidents, comme le cercueil de verre représenté par le caisson de conservation, la pomme avec la friandise à la pomme, la sorcière/méchante reine qui était Levana, la résurrection par le baiser à la toute fin … J’ai ri en me disant que les nains étaient représentés par les soldats mutants ! [FIN DU SPOILER] Je dois ajouter que je n’ai jamais aimé Blanche-Neige en tant que princesse. Mais j’ai apprécié Winter. Elle a quelques traits de caractère semblables, notamment sa naïveté et son charme. Bien sûr, c’est la plus belle fille du royaume, comme dans le conte, mais ce n’est pas forcément quelque chose qu’elle apprécie. Sa folie la rend encore plus attachante, et fragile. Concernant les autres personnages, j’ai finalement été contente de les retrouver après un moment passé à lire. Mes préférés restent Cinder, Scarlet et Wolf. Tous évoluent au fil des tomes, mais l’évolution la plus fragrante est sans doute celle de Cress. J’ai eu du mal avec elle dans le tome qui lui est consacré ; elle est si différente de Cinder et Scarlet, si « princesse en détresse ». Ici, elle essaie de toutes ses forces de faire de son mieux et de laisser sa peur de côté pour agir. Je n’ai, en revanche, pas réussi à apprécier pleinement Iko, que j’aimais beaucoup dans les précédents tomes ! 

Je pense que ce livre transmet de bons messages, notamment en ce qui concerne l’apparence et la folie. Tous les personnages sont « estropiés » d’une façon ou d’une autre : Cinder est un cyborg, il manque un doigt à Scarlet, Winter est « folle » et son visage est défiguré par trois cicatrices, Cress est une coquille, [SPOILER] Levana, sous son « glamour », est elle aussi défigurée par des cicatrices causées par un feu dans son enfance [FIN DU SPOILER]. Pour autant, elles sont toutes belles, et acceptent peu à peu leur apparence, surtout en ce qui concerne Cinder. L’apparence ne compte pas ; c’est le comportement, les choix que l’on fait, qui importe. [SPOILER] J’ai eu un peu peur à un moment en ce qui concerne Levana : elle veut être belle et cache ses cicatrices derrière son « glamour » parce qu’elle en est honteuse. Elle est humiliée par Cinder quand celle-ci montre à tous sa véritable apparence. N’était-ce pas un peu cruel ? Et est-ce que cela n’envoie pas un mauvais message, en quelque sorte ? Mais, si elle est attaquée sur son apparence, c’est parce qu’elle ne s’accepte pas et qu’elle s’accroche à une apparence illusoire, à des mensonges. Son physique lui sert à manipuler son entourage et son peuple et en renforcer son pouvoir. Je n’étais pourtant pas à l’aise. Jusqu’à ces phrases (que je vous traduis, parce que j’ai lu la version VO !) :

« Cinder détestait son propre esprit de qualifier la reine de grotesque. Elle avait été une victime un jour, comme Cinder avait été une victime un jour. Et combien avait qualifié les membres métalliques de Cinder de grotesques, contre-nature, dégoûtants ?

Non. Levana était un monstre, mais ce n’était pas à cause du visage qu’elle avait gardé caché toutes ces années. Ses monstruosités étaient enterrées plus profondément que cela »

Donc, l’apparence de Levana n’est pas une façon de montrer qu’elle est un monstre ; au contraire, elle permet de rappeler qu’elle a été victime un jour, mais qu’elle a choisi un chemin différent de celui de Cinder, un chemin de vengeance, de pouvoir, et de mensonges, loin de l’acceptation de soi. [FIN DU SPOILER] On peut dire la même chose des personnages masculins, notamment les soldats mutants et Wolf [SPOILER] j’étais tellement triste de voir ce qu’il avait encore subi … [FIN DU SPOILER]

Maintenant, les aspects négatifs ! Chaque héroïne a un love interest, un « amoureux » ; c’est une des raisons pour lesquelles je savais comment tout allait finir ! On peut dire que la romance est omniprésente, même si l’intrigue politique y est entremêlée. [SPOILER] Même Iko a l’air d’en avoir un à un moment donné avec Kinney !! Noooon ! [FIN DU SPOILER] J’ai aimé certaines scènes, et j’adore Wolf et Scarlet en tant que couple ; mais, par exemple, l’amour de Cress pour Thorne était trop instalove dans le troisième tome pour que j’apprécie vraiment leur couple. Certains pourraient dire que j’aurais dû m’y attendre, étant donné que ce sont des réécritures de conte, mais j’en ai lu plusieurs qui n’étaient pas étouffées par la romance. Au moins, ce n’est pas le prince charmant qui vient sauver la belle princesse en détresse ! Je vais maintenant parler de la fin. Si vous n’en savez absolument rien, ne lisez pas plus loin. Si vous vous doutez de quelque chose, il n’y aura pas de spoilers. Enfin, étant donné que c’est de la YA, en plus d’être des réécritures de conte, la fin était, pour moi, évidente. Je ne pouvais pas avoir peur pour les personnages : je savais qu’ils finiraient tous en vie, même si les menaces sont constantes et énormes ! [SPOILER] Scarlet n’est pas tuée par Levana, comme c’est le cas pour Thorne, Wolf et Jacin. Winter survit à la maladie. Cinder s’échappe, Kai survit à son mariage, Cress est sauvée par Jacin. [FIN DU SPOILER] Cela montre de véritables amitiés et un esprit d’équipe formidable – deux gros bons points de ce livre ! –, mais c’était un peu incohérent pour moi. [SPOILER] Pendant une guerre aussi violente, avec des pouvoirs tels que ceux des Lunaires, et avec des personnages incapables de se défendre parce que sans pouvoirs, tels Cress ou Scarlet, il était impossible que personne ne meurt. [FIN DU SPOILER] Pour moi, c’est moins convaincant, moins touchant, trop commode, même si les personnages vivent de véritables épreuves ! (peut-être que George R. R. Martin déteint sur moi !!)

 

Je pense lire d’autres livres de Marissa Meyer, notamment Heartless et Renegades, mais j’espère ne pas retrouver ces mêmes éléments négatifs dans ces romans. J’ai l’impression que, dans les romans YA que j’ai lus, je les retrouve toujours, et cela commence à m’agacer. Je ne peux pas ressentir de suspense, ou même véritablement m’attacher aux personnages, parce qu’ils ne sont jamais vraiment en danger ; je sais qu’il ne peut rien leur arriver ! 

 

 

Donc, c’était une bonne fin aux Chroniques lunaires, satisfaisante par certains aspects, moins par d’autres.

 

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