Warriors édité par George R. R. Martin et Gardner Dozois
Editeur : Tor
Année de sortie : 2010
Nombre de pages : 736
Titre en français : Pas encore traduit
Synopsis : George R. R. Martin, from his introduction to Warriors:
People have been telling stories about warriors for as long as they have been telling stories. Since Homer first sang the wrath of Achilles and the ancient Sumerians set down their tales of Gilgamesh, warriors, soldiers, and fighters have fascinated us; they are a part of every culture, every literary tradition, every genre. All Quiet on the Western Front, From Here to Eternity, and The Red Badge of Courage have become part of our literary canon, taught in classrooms all around the country and the world.
Our contributors make up an all-star line-up of award-winning and bestselling writers, representing a dozen different Publishers and as many genres. We asked each of them for the same thing – a story about a warrior. Some chose to write in the genre they’re best known for. Some decided to try something different. You will find warriors of every shape, size, and color in these pages, warriors from every epoch of human history, from yesterday and today and tomorrow, and from worlds that never were. Some of the stories wil make you sad, some will make you laugh, and many will keep you on the edge of your seat.
Every story in this volume appears here for the first time. Included are a long novella from the world of his Song of Ice and Fire series by George R. R. Martin, a new tale of Lord John by Diana Gabaldon, an Emberverse story by S. M. Stirling, a Forever Peace story by Joe Haldeman, and a long tale of humanity at bay by David Weber. Also present are original stories by David Ball, Peter S. Beagle, Lawrence Block, Gardner Dozois, Robin Hobb, Cecelia Holland, Joe R. Lansdale, David Morrell, Naomi Novik, James Rollins, Steven Saylor, Robert Silverberg, Carrie Vaughn, Howard Waldrop, and Tad Williams. Many of these writers are bestsellers. All of them are storytellers of the highest quality. Together they make a volume of unforgettable reading.
Avis : J’ai lu Rogues (Vauriens) et Dangerous Women (même titre en français, mais publié en deux tomes) l’année dernière ; j’avais commencé Warriors, que j’ai fini en 2019.
J’ai fait une pause dans la lecture de cette anthologie : j’avais envie d’autre chose. Toujours lire des nouvelles à propos de guerriers a fini par me lasser un peu. Pourtant, on ne peut pas dire qu’elles soient identiques, ou que le genre soit toujours le même. Comme les précédentes anthologies éditées par George R. R. Martin et Gardner Dozois, celle-ci était diversifiée, présentait des personnages et des genres différents. C’est vraiment un des gros points forts de ces livres pour moi ! Pour autant, Warriors n’était pas à la hauteur de ces prédécesseurs. En effet, bien que j’aie adoré certaines nouvelles, d’autres n’étaient pas du tout faites pour moi, ce qui était plutôt rare dans Dangerous Women ou Rogues. Même quand le genre n’était pas mon préféré, j’appréciais tout de même l’histoire, ou les personnages, voire les deux ! Ici, certains récits m’ont laissée de marbre, complètement insensible à leur charme potentiel – et elles étaient plus nombreuses que dans les autres anthologies. Une dernière remarque avant de commencer : contrairement à Dangerous Women et Rogues, Warriors présente moins de nouvelles écrites par des femmes, et j’ai eu l’impression que le nombre de personnages féminins principaux étaient lui aussi en baisse !
Commençons par l’introduction ! Celle-ci a été écrite par George R. R. Martin. Elle ressemble beaucoup à celle qu’il avait écrite pour l’une des deux autres anthologies (pour Rogues il me semble), mais cela ne m’a posé problème. Au contraire : j’ai l’impression que ses introductions me donnent encore plus envie de lire les livres qu’il présente !
*les traductions des titres sont de moi, je ne sais pas si ces nouvelles ont été traduites en français ! Je sais seulement que ce n’est pas le cas pour le recueil en tant que tel.
Le recueil s’ouvre sur « The King of Norway » (« Le Roi de Norvège ») de Cecelia Holland (fiction historique donc). J’avais apprécié la nouvelle de l’auteure dans Dangerous Women (sur Aliénor d’Aquitaine si je me souviens bien) ; malheureusement, celle-ci n’a pas su me charmer. J’ai été perdue par le vocabulaire maritime, je ne me suis pas du tout attachée aux personnages, et je n’avais aucun contexte me permettant de comprendre les enjeux de l’action. La fin m’a donné l’impression qu’elle venait de nulle part et, pour être honnête, je ne me souviens pas du tout de la nouvelle aujourd’hui. Donc, l’anthologie commençait assez mal !
Mais elle s’est tout de suite rattrapée avec « Forever Bound » (« Liés pour toujours ») de Joe Haldeman (SF). J’ai adoré cette nouvelle !! J’ai été happée par l’histoire, malgré mon appréhension face à un récit vraiment militaire. Pour ceux qui connaissent la série, cette nouvelle est liée à l’univers de The Forever War (La Guerre éternelle), ce qui m’a encore plus donné envie de la découvrir ! J’ai aimé le style d’écriture, je me suis attachée aux personnages grâce au point de vue interne au narrateur. Le système de lien est fascinant, et en même temps terrifiant ; il m’a fait penser à la [SPOILER POTENTIEL] coterie dans The Farseer Trilogy de Robin Hobb ! [FIN DU SPOILER] J’ai été choquée par la fin !! C’est abrupt et assez inattendu !!
Vient ensuite « The Triumph » (« Le Triomphe ») de Robin Hobb (fiction historique). Malgré l’auteure, ce n’est pas de la Fantasy ; l’action se situe au temps de l’Empire romain ! Rien que là, vous devinez que j’ai adoré !! Je ne peux pas trop vous en dire, au risque de vous spoiler, mais sachez que c’est une histoire d’honneur (comme souvent quand on parle de Romains), de mort et d’amitié. C’était à la fois beau et profondément triste. C’est sans doute ma nouvelle préférée de tout le recueil !
On passe à « Clean Slate » (« Table rase ») de Lawrence Block (thriller psychologique). Je ne connaissais pas du tout cet auteur, mais j’ai été bluffée par cette nouvelle, que j’ai, elle aussi, adorée ! Nous suivons une femme en qui le lecteur ne peut pas avoir confiance (un de mes tropes préférés !), et son compte des hommes avec qui elle a couché. C’est la première nouvelle dont le personnage principal est une femme ! La folie s’insinue peu à peu dans le récit, et c’est assez effrayant ! Le lecteur ne sait pas du tout quoi croire jusqu’à la fin ! Attention, certains sujets lourds sont traités comme [SPOILER POTENTIEL] l’inceste et le viol. [FIN DU SPOILER]
Vient ensuite « And Ministers of Grace » (« Les Envoyés de la Grâce ») de Tad Williams (SF). Cette nouvelle traite du terrorisme religieux dans le futur, un sujet que je n’avais jamais vu traité avant ! La religion a été bannie de la Terre, et tente de la reconquérir grâce à des attentats semble-t-il. Le personnage principal est très intéressant : il semble à moitié humain, à moitié robot, une sorte de mutant. C’est original, combiné à l’intrigue ! Le lecteur peut sentir une critique acerbe centrée sur le lavage de cerveau [SPOILER] incarné par cette carte placée dans le cerveau de tout le monde [FIN DU SPOILER] que ce soit concernant les terroristes ou les rationalistes ! La fin est un peu trop abrupte, c’est la raison pour laquelle ce n’est pas vraiment un coup de cœur.
« Soldierin’ » (« Et’e soldat ») de Joe R. Lansdale (fiction historique) est une des nouvelles que j’ai le moins appréciée dans tout le recueil. Ce n’est pas mon genre d’histoires. Nous sommes au Texas, dans les années 1800, et nous suivons d’anciens esclaves noirs – nous le savons parce que leurs anciens maîtres sont mentionnés. C’était violent – les autres histoires le sont aussi, ce n’est pas la raison pour laquelle je n’ai pas apprécié – et je n’ai pas aimé ma lecture du tout. Certaines parties/réflexions étaient intéressantes pour autant. [SPOILER] La mort du cheval, à la fin, n’était pas du tout, mais alors pas du tout, nécessaire. [FIN DU SPOILER]
J’ai beaucoup plus aimé « Dirae » (SF), de Peter S. Beagle, qui frôle le coup de cœur ! Je suis vraiment heureuse de l’avoir enfin découvert, même si ce n’est que dans une nouvelle ! L’intrigue est fascinante, même s’il était un peu difficile d’entrer dans l’histoire, en raison de la confusion totale qui règne au début, autant pour le personnage principal que pour le lecteur ! (Les éditeurs nous préviennent dans la petite présentation qui précède le récit !) [SPOILER] La création d’un être humain à partir de rêves, et le fait que cet être soit capable d’agir : c’était génial !! [FIN DU SPOILER] La confusion n’est pas là juste pour faire beau, ou pour brouiller le lecteur ; elle a un véritable sens dans la nouvelle, ce qui est plutôt rare je trouve ! Nous sommes dans la tête du personnage, et cela nous permet de le comprendre. Le lecteur voit à travers ses yeux, vit ce qu’elle vit. C’était aussi très émouvant. J’ai vraiment hâte de lire des romans de Beagle, notamment The Last Unicorn !!
Vient ensuite « The Custom of the Army » (« La Coutume de l’armée ») de Diana Gabaldon (fiction historique). Je dois admettre que j’ai été plutôt déçue ici, alors que la nouvelle présente dans Dangerous Women m’avait vraiment plu ! Elle entre dans l’univers de Lord John, une autre série de l’auteure, en lien léger avec Outlander – on entend brièvement parler de la famille Fraser. J’aime le style d’écriture de l’auteure, mais je n’ai pas cessé d’être distraite tout le long de ma lecture. Elle n’a pas su capter mon attention. Peut-être était-ce trop long ? trop confus ? pas mon truc ? Peut-être avais-je besoin de plus de contexte pour être dans l’histoire ? J’ai aimé la scène de bataille, j’étais vraiment dedans, mais le reste ne m’a pas transcendée.
« Seven Years from Home » (« A sept ans de la maison ») (SF) de Naomi Novik est une autre légère déception. Je m’attendais aussi à beaucoup aimer, sans doute parce que j’ai entendu beaucoup de bien de l’auteure ! Mais, l’étrangeté de la nouvelle, le format, et la distance que j’ai ressentie par rapport aux personnages ne m’a pas permis d’entrer dans l’histoire. Je me suis seulement attachée à Melida en elle-même. L’écriture était bonne. J’avais aussi une impression de déjà vu : j’ai énormément pensé à Avatar du début à la fin ! J’attendrai donc de lire un roman de l’auteure pour me forger une opinion claire !
Contrairement aux deux dernières nouvelles, j’ai beaucoup aimé (presque coup de cœur !!) « The Eagle and the Rabbit » (« L’aigle et le lapin ») de Steven Saylor (fiction historique). Comme « The Triumph », l’action se situe au temps de l’Empire romain. Déjà, un bon point pour la période. Point qui aurait pu être négatif, mais qui ne l’a pas été : l’intrigue se déroule en grande partie dans le désert. C’est un endroit qui ne m’attire pas du tout, dans la vraie vie ou en littérature. C’était très violent, très cruel : nos personnages sont faits prisonniers par un mercenaire romain qui aime jouer avec ses victimes. Les protagonistes tombent les uns après les autres, et c’est assez pénible à lire. Au centre se pose la question de la liberté, ce qu’elle est, ce que c’est d’être véritablement libre. La fin est frustrante !!!! [SPOILER] Ont-ils réussi ? Sont-ils morts ? Ont-ils été repris ?!! [FIN DU SPOILER] J’ai tellement hâte de lire les romans de l’auteur !!
« The Pit » (« La Fosse ») (difficilement à catégoriser, mais je dirai thriller ?) de James Rollins avait tout pour me déplaire. Je ne le sentais pas du tout, dès le début, à cause du sujet : la maltraitance animale. Je ne peux pas supporter ça. Mais je me suis dit que j’allais tout de même essayer. Le point de vue est celui du chien lui-même, ce qui est encore plus douloureux. C’était cruel, violent, désespérant. Mais, très bon tout de même ! J’avais prédit la fin ; si ça ne s’était pas terminé comme ça, j’aurais sans doute détesté [SPOILER] même si, malheureusement, le contraire est plus proche de la réalité me semble-t-il … Cela permet tout de même de montrer qu’il est possible, pour d’anciens chiens combattants, d’avoir une vraie belle vie ensuite, grâce à des soins, de l’attention, du temps, et de l’amour. [FIN DU SPOILER]
Une autre nouvelle, que cette fois j’ai ADORE : « Out of the Dark » (« Au sortir des ténèbres ») de David Weber (SF). Je ne pouvais tout simplement pas ne PAS aimer cette histoire !! [SPOILER] Attendez, on se trouve quand même en présence du seul, de l’unique Dracula !! Comment ne pas aimer ?!! De nombreux indices sont disséminés dans la nouvelle : je les ai relevés, mais je n’arrivais pas à y croire (trop beau pour être vrai !) [FIN DU SPOILER] L’histoire a lieu de nos jours, ce qui la rend très réaliste : je me suis sentie très proche des personnages, je me suis imaginée à leur place, c’était tellement facile ! Je voudrais maintenant un roman complet sur l’Hégémonie s’il vous plaît !!!
Une nouvelle tout à fait différente cette fois : « The Girls from Avenger » (« Les Filles d’Avenger ») de Carrie Vaughn (fiction historique). Rien à voir avec les Avengers ; ici nous suivons les femmes pilotes américaines (je suppose) pendant la Seconde Guerre mondiale. J’ai préféré cette histoire à celle présente dans Dangerous Women, « Raisa Stepanova ». Comme dans cette dernière, l’auteure prend un point de vue féministe et montre combien les femmes pilotes étaient dévaluées en raison de leur sexe. Elles auraient pu participer à l’effort de guerre, mais cela leur a été refusé parce qu’elles étaient femmes. Autant vous dire que j’ai grincé des dents en lisant ; j’ai failli en pleurer de frustration à un moment donné ! Cette nouvelle traite de femmes oubliées dont nos manuels scolaires ne disent pas un mot ! C’était triste, injuste, et je pouvais clairement ressentir le désespoir des personnages ! Concernant l’action (dont je ne vous dirai rien), je suis persuadée que cela aurait pu/a pu arriver ! La révélation est horrible !!
Vient ensuite « Ancient Ways » (« Coutumes anciennes ») de S. M. Stirling (SF) que je n’ai pas tellement appréciée. Je n’étais pas dans l’histoire du tout, et j’ai lu de meilleures nouvelles futuristes/SF dans le recueil – il faut dire qu’il y en a un paquet ! C’était intéressant, mais sans plus – tellement que je ne m’en souviens plus du tout en écrivant cette chronique !!
Après ça, j’ai fait une pause, parce que je voulais lire autre chose – j’en avais un peu marre de la guerre et des guerriers, j’avoue ! –, mais aussi parce que j’avais peur de ne pas autant apprécier les nouvelles suivantes.
On recommence avec « Ninieslando » d’Howard Waldrop (fiction historique/histoire alternative ?) L’idée est originale, et traite, pour une fois, de la Première Guerre mondiale, et non de la Seconde Guerre mondiale. J’ai aimé la place accordée à l’esperanto, une langue pratiquement oubliée ! Mais, je n’étais pas pour autant captivée, sans doute à cause de mon manque d’attachement pour les personnages, et du style d’écriture peut-être ?
Vient ensuite « Recidivist » (je pense qu’il n’est pas nécessaire de traduire ici !) (SF) de Gardner Dozois. C’est la première fois que je lisais cet auteur, et j’ai vraiment apprécié ma lecture ! C’était original, le temps n’était pas si éloigné du nôtre et, en même temps, c’était tellement étrange ! J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire au début, puis j’étais dedans, et j’en voulais plus ! – un roman s’il vous plaît !! J’ai adoré la définition des robots, et les différences entre eux et les humains ! Je tenterai d’autres livres de l’auteur !
Puis, « My Name Is Legion » (« Mon nom est légion ») de David Morrell (fiction historique). Cette nouvelle avait tout pour me déplaire : encore du désert, et on traite ici de la légion étrangère française. Je pense que je n’ai jamais rien lu à son propos ; ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse énormément. Pour autant, j’ai vraiment beaucoup aimé cette histoire ! C’était intéressant et différent, même si c’est toujours un récit de guerre. Personnellement, j’y ai vu l’honneur au pire de sa forme, puisque le lecteur comprend peu à peu [SPOILER] qu’il va assister à une bataille fratricide [FIN DU SPOILER]. L’action se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale, l’histoire est assez émouvante – malgré les répétitions qui ont fini par me faire lever les yeux au ciel ! – puisqu’on découvre le passé du personnage principal et les raisons pour lesquelles il est entré dans la légion étrangère !
« Defenders of the Frontier » (« Défenseurs de la frontière ») de Robert Silverberg, est l’une des rares nouvelles Fantasy du recueil ! Un groupe d’hommes doit défendre une frontière très éloignée d’un Empire qui semble les avoir oubliés. La vision des femmes et des autres peuples était limite, pour ne pas dire clairement agaçante – je ne l’attribue pas à l’auteur, mais bien aux personnages. C’était parfois angoissant : ils sont tellement seuls. J’aurais aimé en savoir plus sur l’Empire, et avoir le fin mot de l’histoire ! La fin était assez frustrante et angoissante : le lecteur, et les personnages, sont laissés en suspens !
Vient ensuite « The Scroll » (« Le Parchemin ») de David Ball (fiction historique). J’aurais pu adorer cette nouvelle, si je n’avais pas tant détesté la fin !! J’ai aimé les autres récits que j’ai lus de Ball dans les anthologies précédentes, ce qui me pousse à tenter un de ses romans ! Encore une fois, beaucoup de violence, pimentée de cruauté !! J’étais complètement dans l’histoire, malgré le décor qui aurait pu ne pas me plaire (encore un désert !), et j’avais des frissons à l’idée que ce pourrait être vrai ! L’auteur traite ici de liberté, de destin, de volonté. Mais la fin … NON !!
Et enfin, la dernière nouvelle : « The Mystery Knight » (« L’œuf de dragon ») de George R. R. Martin (Fantasy, évidemment !) L’action se situe dans le monde de A Song of Ice and Fire, donc à Westeros ! J’ai été ravie de retrouver l’univers ! J’ai eu un peu de mal au début parce que je ne connaissais pas du tout les personnages, Dunk et Egg ; je n’ai pas lu les nouvelles précédentes, donc je n’avais aucun contexte ! Heureusement, ils nous parlent de leurs actions passées – surtout Dunk, dans la tête de qui nous nous trouvons à plusieurs reprises ! –, et le lecteur apprend qui ils sont, d’où ils viennent, ce qu’ils font ! Je ne m’intéressais pas tellement à eux au début, puis, en apprenant à les connaître, j’ai appris à les apprécier, et j’ai passé un très bon moment !! L’action était assez lente à se mettre en place, mais le rythme accélère à un moment, et j’étais complètement dedans ! Peut-on maintenant, s’il vous plaît, avoir The Winds of Winter ?!!
Donc, une bonne anthologie, avec des nouvelles excellentes, et d’autres qui ne me convenaient pas. Je ne suis pas une grande fan de guerre, mais j’ai été surprise d’aimer autant certaines nouvelles qui, à première vue, n’étaient pas faites pour moi !
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